Le sujet était au centre de la concertation sur les questions foncières, domaniales et cadastrales d’envergure pour une gouvernance foncière responsable et performante au Cameroun.
Les assises qui se tiennent depuis hier à Yaoundé sont conjointement organisées par le ministère des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières et la FAO.
Selon le ministère des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières, Henri Eyebe Ayissi, qui a procédé à l’ouverture des assises le 27 mai 2025, la Plateforme Multi-Acteurs de concertation (PMAC) qui est concernée par les travaux, « constitue un cadre formel et privilégié de discussion et d’échanges réunissant une pluralité d’acteurs et groupes d’acteurs, concernés par la question foncière, pour s’appesantir sur les principaux problèmes identifiés, dans l’optique de la formulation des propositions concertées, en vue d’une gouvernance plus responsable, équitable, durable et inclusive ».
Les intervenants ont saisi cette tribune indiquée pour rappeler que pour le monde en développement, la dernière décennie a été confrontée comme jamais à des acquisitions de terres à grande échelle par des spéculateurs internationaux, et des multinationales agroalimentaires en Afrique notamment.
Avec pour effets collatéraux : la corruption en matière de gestion des ressources naturelles, des revendications contradictoires sur ces ressources, et la non-reconnaissance des régimes fonciers coutumiers.Pour une tentative de solution, la communauté internationale a insisté sur la nécessité d’une gouvernance foncière plus responsable.
Les travaux ouverts hier en présence des représentants de la Coopération Allemande, de la FAO, et qui s’achèvent ce 28 mai 2025, ont connu la participation d’une centaine de membres de la plateforme multi-acteurs.Ils ont pour objectif général de renforcer le processus inclusif pour l’élaboration de la politique foncière et domaniale nationale, en assurant la participation des parties prenantes concernées par la gestion du foncier au Cameroun.
L’existence d’une politique foncière nationale est un pilier essentiel pour orienter les processus de réforme foncière. C’est dans cette mouvance que le ministre des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières a annoncé l’organisation, dans les prochaines semaines, en liaison avec la GIZ, d’un atelier à l’intention des chefs traditionnels.
Cela en vue de l’appropriation par les parties prenantes des dispositions de la lettre- circulaire du 02 avril 2025 sur l’implication des chefs traditionnels, dans la gestion foncière.
Les assises qui se tiennent depuis hier à Yaoundé sont conjointement organisées par le ministère des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières et la FAO.
Selon le ministère des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières, Henri Eyebe Ayissi, qui a procédé à l’ouverture des assises le 27 mai 2025, la Plateforme Multi-Acteurs de concertation (PMAC) qui est concernée par les travaux, « constitue un cadre formel et privilégié de discussion et d’échanges réunissant une pluralité d’acteurs et groupes d’acteurs, concernés par la question foncière, pour s’appesantir sur les principaux problèmes identifiés, dans l’optique de la formulation des propositions concertées, en vue d’une gouvernance plus responsable, équitable, durable et inclusive ».
Les intervenants ont saisi cette tribune indiquée pour rappeler que pour le monde en développement, la dernière décennie a été confrontée comme jamais à des acquisitions de terres à grande échelle par des spéculateurs internationaux, et des multinationales agroalimentaires en Afrique notamment.
Avec pour effets collatéraux : la corruption en matière de gestion des ressources naturelles, des revendications contradictoires sur ces ressources, et la non-reconnaissance des régimes fonciers coutumiers.Pour une tentative de solution, la communauté internationale a insisté sur la nécessité d’une gouvernance foncière plus responsable.
Les travaux ouverts hier en présence des représentants de la Coopération Allemande, de la FAO, et qui s’achèvent ce 28 mai 2025, ont connu la participation d’une centaine de membres de la plateforme multi-acteurs.Ils ont pour objectif général de renforcer le processus inclusif pour l’élaboration de la politique foncière et domaniale nationale, en assurant la participation des parties prenantes concernées par la gestion du foncier au Cameroun.
L’existence d’une politique foncière nationale est un pilier essentiel pour orienter les processus de réforme foncière. C’est dans cette mouvance que le ministre des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières a annoncé l’organisation, dans les prochaines semaines, en liaison avec la GIZ, d’un atelier à l’intention des chefs traditionnels.
Cela en vue de l’appropriation par les parties prenantes des dispositions de la lettre- circulaire du 02 avril 2025 sur l’implication des chefs traditionnels, dans la gestion foncière.