L’accès à la salle de banquet du centre international des conférences de Kintélé qui s’est muée pour la circonstance en salle de conférence n’a pas été ordinaire. Il n'y a presque pas eu de privilégiés : directeurs généraux, ministres et journalistes ont été tous soumis au contrôle sanitaire : Sans pass-sanitaire, pas d’accès à la salle, à moins de passer un test rapide.
Dans la salle, où les arbustes naturels ont pris la place du décor fait de fleurs artificielles, le public a pu contempler et admirer le pavoisement en espèces végétales. Les organisateurs, sans doute, ont voulu mettre en phase le projet « Terre d’Ecole ». Voilà pour le décor !
La cérémonie a été meublée de trois allocutions : celle de Hellot Matson Mampouya, haut-commissaire aux états généraux de l’éducation. Il a affirmé que le projet « Terre d’école » s’inscrit dans le prolongement de la vision écologique du président Denis Sassou N’Guesso. En 1983, a-t-il rappelé, le président congolais avait déjà lancé le mot d’ordre éducatif « une école, un champ ; une école, un jardin », avec pour objectif d’amener les apprenants à avoir des connaissances sur la culture de la terre. Et, pour lutter contre la déforestation et endiguer ses effets dévastateurs, a-t-il poursuivi, Denis Sassou N’Guesso avait initié, en 1984, le planting d’arbres, célébré les mois de mars d’abord, puis de novembre de chaque année, a renchéri Hellot Matson Mampouya.
Initiatrice du projet, Maria Maylin a relevé les valeurs de « Terre d’école » qui est selon elle, un programme qui s’adresse à tous les jeunes en âge d’être scolarisé et qui vise à démocratiser le savoir, à former à la connaissance de la terre et à relier tradition et modernité. Elle a remercié le président Denis Sassou N’Guesso de son appui et pour l’aboutissement heureux de ce projet. « Il y a dix ans que je rêvais de ce jour… », a-t-elle martelé.
Clôturant la série des allocutions, le ministre de l’enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Jean Luc Mountou a salué l’initiative. Ce projet arrive à point nommé, a-t-il affirmé. « Tel qu’il est présenté, il retrouve un substrat dans cette autre idée qui remonte depuis les années 1980 et qui instituait un programme éducatif dénommé « Une école un champ », a-t-il souligné avant de préciser que « …le projet terre d’école » doit permettre aux enfants de poursuivre un cursus scolaire normal mais assez proche de nos valeurs traditionnelles et en lien avec la terre. »
A noter que le Campus Terre d’école Christophe de Margerie est un projet éducatif citoyen destiné aux élèves du CP à la terminale. Son objet est d’associer aux programmes scolaires et académiques, la réappropriation des savoirs ancestraux et la connaissance des cultures vivrières locales. Ici, le sport est considéré comme vecteur de cohésion et d’hygiène de vie. Ce projet a été initié en juin 2012 lors du congrès de la terre, Rio +20.
Dans la salle, où les arbustes naturels ont pris la place du décor fait de fleurs artificielles, le public a pu contempler et admirer le pavoisement en espèces végétales. Les organisateurs, sans doute, ont voulu mettre en phase le projet « Terre d’Ecole ». Voilà pour le décor !
La cérémonie a été meublée de trois allocutions : celle de Hellot Matson Mampouya, haut-commissaire aux états généraux de l’éducation. Il a affirmé que le projet « Terre d’école » s’inscrit dans le prolongement de la vision écologique du président Denis Sassou N’Guesso. En 1983, a-t-il rappelé, le président congolais avait déjà lancé le mot d’ordre éducatif « une école, un champ ; une école, un jardin », avec pour objectif d’amener les apprenants à avoir des connaissances sur la culture de la terre. Et, pour lutter contre la déforestation et endiguer ses effets dévastateurs, a-t-il poursuivi, Denis Sassou N’Guesso avait initié, en 1984, le planting d’arbres, célébré les mois de mars d’abord, puis de novembre de chaque année, a renchéri Hellot Matson Mampouya.
Initiatrice du projet, Maria Maylin a relevé les valeurs de « Terre d’école » qui est selon elle, un programme qui s’adresse à tous les jeunes en âge d’être scolarisé et qui vise à démocratiser le savoir, à former à la connaissance de la terre et à relier tradition et modernité. Elle a remercié le président Denis Sassou N’Guesso de son appui et pour l’aboutissement heureux de ce projet. « Il y a dix ans que je rêvais de ce jour… », a-t-elle martelé.
Clôturant la série des allocutions, le ministre de l’enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Jean Luc Mountou a salué l’initiative. Ce projet arrive à point nommé, a-t-il affirmé. « Tel qu’il est présenté, il retrouve un substrat dans cette autre idée qui remonte depuis les années 1980 et qui instituait un programme éducatif dénommé « Une école un champ », a-t-il souligné avant de préciser que « …le projet terre d’école » doit permettre aux enfants de poursuivre un cursus scolaire normal mais assez proche de nos valeurs traditionnelles et en lien avec la terre. »
A noter que le Campus Terre d’école Christophe de Margerie est un projet éducatif citoyen destiné aux élèves du CP à la terminale. Son objet est d’associer aux programmes scolaires et académiques, la réappropriation des savoirs ancestraux et la connaissance des cultures vivrières locales. Ici, le sport est considéré comme vecteur de cohésion et d’hygiène de vie. Ce projet a été initié en juin 2012 lors du congrès de la terre, Rio +20.