« Adhérons tous à ce combat pour le bien-être de la Nation », c’est le contenu de « stop corruption », initiative prise par la haute autorité de lutte contre la corruption, dans son combat contre ce fléau qui gangrène la société congolaise. La rencontre de Pointe-Noire qui a servi de tribune pour dénoncer toutes les pratiques déviantes a été placée sous l’autorité du préfet du département de Pointe-Noire, Alexandre Honoré Paka, qui avait à ses cotés le président de la Haute autorité de lutte contre la corruption, Emmanuel Ondongo Ollita.
Les différents intervenants à ces assises ont lancé des messages d’exhortation à la prise de conscience du danger que représente la corruption et ses effets néfastes dans le développement du pays. La population a été invitée à la vigilance et à la dénonciation des corrupteurs, sans être inquiéter, tout en se sentant protéger par la loi. Tout en prenant connaissance des textes créant la haute autorité de lutte contre la corruption et l’arsenal juridique qui organise son fonctionnement, l’assistance a été informée de la mise en service du numéro vert, à savoir le 1023, pour dénoncer toutes ces déviances.
Il faut retenir que l’humanité cette année a placé cette journée de lutte contre la corruption sous le thème « Votre droit, votre défi : dites non à la corruption ». Sur cette base, la communauté congolaise est appelée à comprendre que la corruption touche tous les domaines de la société. De ce point de vue, la prévention de la corruption permet d’avancer vers les objectifs de développement durable, de protéger le Congo, de créer des emplois, d'assurer l'égalité des sexes et de garantir un meilleur accès aux services essentiels tels que la santé et l'éducation.
En ces temps de crise économique et sanitaire, des ressources financières sont indispensables pour relever le pari de la COVID-19 et ses corollaires. En cette journée internationale de lutte contre la corruption, il est fondamental de souligner les droits et les devoirs de chacun, sans omettre les responsables gouvernementaux, les fonctionnaires, les forces de l’ordre, les médias, le secteur privé, la société civile, les universités, le public et les jeunes, dans la lutte contre la corruption.
Chaque personne a un rôle à jouer pour prévenir ce crime afin de promouvoir la résilience et l'intégrité à tous les niveaux de la société. Il faut, en conséquence, dénoncer tous ces dérives, ces déviances qui retardent le développement en appelant au 1023.
Ce numéro participe des politiques, des systèmes et des mesures qui se mettent en place au niveau national, pour que les gens puissent s'exprimer et dire non à la corruption.
Cette campagne de sensibilisation et de mobilisation nationale contre la corruption qui a débuté à Pointe-Noire, se poursuivra dans d’autres localités de la République du Congo.
Les différents intervenants à ces assises ont lancé des messages d’exhortation à la prise de conscience du danger que représente la corruption et ses effets néfastes dans le développement du pays. La population a été invitée à la vigilance et à la dénonciation des corrupteurs, sans être inquiéter, tout en se sentant protéger par la loi. Tout en prenant connaissance des textes créant la haute autorité de lutte contre la corruption et l’arsenal juridique qui organise son fonctionnement, l’assistance a été informée de la mise en service du numéro vert, à savoir le 1023, pour dénoncer toutes ces déviances.
Il faut retenir que l’humanité cette année a placé cette journée de lutte contre la corruption sous le thème « Votre droit, votre défi : dites non à la corruption ». Sur cette base, la communauté congolaise est appelée à comprendre que la corruption touche tous les domaines de la société. De ce point de vue, la prévention de la corruption permet d’avancer vers les objectifs de développement durable, de protéger le Congo, de créer des emplois, d'assurer l'égalité des sexes et de garantir un meilleur accès aux services essentiels tels que la santé et l'éducation.
En ces temps de crise économique et sanitaire, des ressources financières sont indispensables pour relever le pari de la COVID-19 et ses corollaires. En cette journée internationale de lutte contre la corruption, il est fondamental de souligner les droits et les devoirs de chacun, sans omettre les responsables gouvernementaux, les fonctionnaires, les forces de l’ordre, les médias, le secteur privé, la société civile, les universités, le public et les jeunes, dans la lutte contre la corruption.
Chaque personne a un rôle à jouer pour prévenir ce crime afin de promouvoir la résilience et l'intégrité à tous les niveaux de la société. Il faut, en conséquence, dénoncer tous ces dérives, ces déviances qui retardent le développement en appelant au 1023.
Ce numéro participe des politiques, des systèmes et des mesures qui se mettent en place au niveau national, pour que les gens puissent s'exprimer et dire non à la corruption.
Cette campagne de sensibilisation et de mobilisation nationale contre la corruption qui a débuté à Pointe-Noire, se poursuivra dans d’autres localités de la République du Congo.