Au cours de l’entretien, Monseigneur Djitangar a reconnu la gravité et la progression alarmante de la corruption dans le pays. Il a salué les efforts entrepris par l’AILC, et exprimé le plein soutien de l’Église catholique à cette cause.
« Bien que l’éradication totale de la corruption soit difficile d’un point de vue humain, l’Église se veut un modèle d’intégrité et de bonne gouvernance. Nous épousons pleinement la démarche entreprise par l’AILC », a-t-il affirmé.
Pour M. Djougourou, la corruption représente un fléau multidimensionnel qui freine la croissance économique, détériore le climat des affaires et compromet le développement durable du pays.
« Elle nuit à tous les secteurs : politique, économique, social, environnemental. Il est impératif d’y opposer une résistance collective », a-t-il martelé.
Il a souligné le rôle crucial des leaders religieux dans l'éveil des consciences, notamment à travers l’éducation, la prédication et la promotion des valeurs morales :
« L’AILC seule ne peut venir à bout de ce mal. Le relais religieux est un levier fondamental de notre stratégie. »
Le Contrôleur général a mis l’accent sur la prévention comme pilier de l’action de l’AILC, tout en rappelant la nécessité de faire appliquer rigoureusement la loi en cas de détournements avérés :
« Nous privilégions l’éducation et la sensibilisation, mais face à la fraude, la loi doit s’appliquer sans faille. »
Conscient des résistances culturelles et institutionnelles, il a plaidé pour une réforme profonde des pratiques de gouvernance au Tchad, fondée sur l’éducation à l’intégrité dès le plus jeune âge.
« Bien que l’éradication totale de la corruption soit difficile d’un point de vue humain, l’Église se veut un modèle d’intégrité et de bonne gouvernance. Nous épousons pleinement la démarche entreprise par l’AILC », a-t-il affirmé.
Pour M. Djougourou, la corruption représente un fléau multidimensionnel qui freine la croissance économique, détériore le climat des affaires et compromet le développement durable du pays.
« Elle nuit à tous les secteurs : politique, économique, social, environnemental. Il est impératif d’y opposer une résistance collective », a-t-il martelé.
Il a souligné le rôle crucial des leaders religieux dans l'éveil des consciences, notamment à travers l’éducation, la prédication et la promotion des valeurs morales :
« L’AILC seule ne peut venir à bout de ce mal. Le relais religieux est un levier fondamental de notre stratégie. »
Le Contrôleur général a mis l’accent sur la prévention comme pilier de l’action de l’AILC, tout en rappelant la nécessité de faire appliquer rigoureusement la loi en cas de détournements avérés :
« Nous privilégions l’éducation et la sensibilisation, mais face à la fraude, la loi doit s’appliquer sans faille. »
Conscient des résistances culturelles et institutionnelles, il a plaidé pour une réforme profonde des pratiques de gouvernance au Tchad, fondée sur l’éducation à l’intégrité dès le plus jeune âge.