Maroc : la BAD soutient l’amélioration du climat des affaires pour une sortie de crise par le haut. Illustration © DR
La Banque africaine de développement et le ministère marocain de l’Économie, des Finances et de la Réforme de l’administration ont signé, ce jour, un accord de don de près d’un million de dollars américains destiné à soutenir les services du chef du Gouvernement du Royaume du Maroc pour mettre en œuvre le projet d’appui à l’amélioration du climat des affaires et à la relance.
Dans le contexte de crise liée au Covid-19, ce partenariat a pour principal objectif de soutenir l’amélioration de l’environnement des affaires afin de consolider la résilience du Royaume face à la pandémie et de promouvoir la relance de son économie.
« Maintenir en ces temps de crise l’élan des réformes qui améliorent le climat des affaires est une priorité pour protéger l’entreprenariat et préserver la croissance des entreprises, a déclaré Mohamed El Azizi, directeur général de la Banque africaine de développement pour l’Afrique du Nord. Ce partenariat est d’autant plus important qu’il intervient à un moment où le Royaume mobilise l’ensemble de ses forces vives pour réussir une sortie de crise par le haut. »
Le partenariat contribuera ainsi à accélérer la mise en œuvre des mesures d’amélioration de l’environnement des affaires au Maroc. Il permettra, plus généralement, d’appuyer l’agenda des réformes prioritaires dans les domaines économiques et sociaux, de soutenir sa déclinaison sectorielle et d’en renforcer les mécanismes de suivi grâce à une série d’ateliers thématiques qui favoriseront le partage d’expérience et des bonnes pratiques.
La Banque africaine de développement a soutenu le Royaume dans sa riposte à la crise sanitaire en apportant plus de 380 millions d’euros à travers le Programme d’appui à la réponse au Covid-19 (PARC-19) et le financement additionnel du Programme d’appui à l’amélioration de la protection sociale (PAAPS-FA Covid-19).
Le Royaume du Maroc figure parmi les membres fondateurs de la Banque africaine de développement en 1964. L’engagement de la Banque auprès du Maroc s’élève à plus de dix milliards d’euros cumulés, avec des financements couvrant divers secteurs, dont la santé, l’énergie, l’eau, les transports, le développement humain, l’agriculture et le secteur financier.
Dans le contexte de crise liée au Covid-19, ce partenariat a pour principal objectif de soutenir l’amélioration de l’environnement des affaires afin de consolider la résilience du Royaume face à la pandémie et de promouvoir la relance de son économie.
« Maintenir en ces temps de crise l’élan des réformes qui améliorent le climat des affaires est une priorité pour protéger l’entreprenariat et préserver la croissance des entreprises, a déclaré Mohamed El Azizi, directeur général de la Banque africaine de développement pour l’Afrique du Nord. Ce partenariat est d’autant plus important qu’il intervient à un moment où le Royaume mobilise l’ensemble de ses forces vives pour réussir une sortie de crise par le haut. »
Le partenariat contribuera ainsi à accélérer la mise en œuvre des mesures d’amélioration de l’environnement des affaires au Maroc. Il permettra, plus généralement, d’appuyer l’agenda des réformes prioritaires dans les domaines économiques et sociaux, de soutenir sa déclinaison sectorielle et d’en renforcer les mécanismes de suivi grâce à une série d’ateliers thématiques qui favoriseront le partage d’expérience et des bonnes pratiques.
La Banque africaine de développement a soutenu le Royaume dans sa riposte à la crise sanitaire en apportant plus de 380 millions d’euros à travers le Programme d’appui à la réponse au Covid-19 (PARC-19) et le financement additionnel du Programme d’appui à l’amélioration de la protection sociale (PAAPS-FA Covid-19).
Le Royaume du Maroc figure parmi les membres fondateurs de la Banque africaine de développement en 1964. L’engagement de la Banque auprès du Maroc s’élève à plus de dix milliards d’euros cumulés, avec des financements couvrant divers secteurs, dont la santé, l’énergie, l’eau, les transports, le développement humain, l’agriculture et le secteur financier.