Après plusieurs mois passés à la maison d’arrêt de Klessoum, ils ont été condamnés à 18 mois de prison avec sursis et à une amende de 100 000 FCFA chacun.
Lors de l’audience, l’avocat de la défense a plaidé la clémence, expliquant que ses clients n’avaient pas l’intention de se faire justice eux-mêmes, mais seulement de confronter le jeune homme à ses actes.
Selon lui, les accusés se seraient rendus chez la victime pour lui demander : « Reconnais-tu ce que tu as fait ? » Ce dernier leur aurait rétorqué : « Faites ce que vous voulez », une réponse jugée provocatrice qui aurait conduit à un échange verbal puis à une altercation physique.
L’avocat a insisté sur le fait que ses clients voulaient simplement demander au jeune homme de cesser sa relation avec leur sœur mariée, sans en venir aux mains. Il a également contesté la version des faits présentée par la partie civile, estimant que la gravité des blessures avait été exagérée.
Le tribunal a finalement retenu les faits de violences volontaires, tout en tenant compte des circonstances atténuantes plaidées par la défense.
Lors de l’audience, l’avocat de la défense a plaidé la clémence, expliquant que ses clients n’avaient pas l’intention de se faire justice eux-mêmes, mais seulement de confronter le jeune homme à ses actes.
Selon lui, les accusés se seraient rendus chez la victime pour lui demander : « Reconnais-tu ce que tu as fait ? » Ce dernier leur aurait rétorqué : « Faites ce que vous voulez », une réponse jugée provocatrice qui aurait conduit à un échange verbal puis à une altercation physique.
L’avocat a insisté sur le fait que ses clients voulaient simplement demander au jeune homme de cesser sa relation avec leur sœur mariée, sans en venir aux mains. Il a également contesté la version des faits présentée par la partie civile, estimant que la gravité des blessures avait été exagérée.
Le tribunal a finalement retenu les faits de violences volontaires, tout en tenant compte des circonstances atténuantes plaidées par la défense.