Les relations avec l’UE et ses États membres est dans une multitude des domaines importantes pour la Suisse. © Commission européenne
La Commission européenne estime qu'il n'y a « pas de risque pour l'approvisionnement en uranium de l'UE suite au coup d'Etat militaire au Niger, le pays représentant un quart des approvisionnements des Européens, et ce en raison des stocks déjà constitués.
« Il n'y a pas de risque d'approvisionnement en ce qui concerne l'UE. Les opérateurs de l'UE disposent de stocks suffisants d'uranium naturel pour atténuer tout risque d'approvisionnement à court terme », a indiqué Adalbert Jahnz, un porte-parole de l'exécutif européen, lors d'une conférence de presse tenu le 1er aout 2023. « A moyen et long terme, il existe suffisamment de gisements sur le marché mondial pour couvrir les besoins de l'UE », a ajouté le porte-parole.
Le Niger est un fournisseur majeur d'uranium pour les centrales nucléaires européennes, mais la Commission européenne a souligné que le processus d'enrichissement permettait de gérer la situation en utilisant les stocks existants.
Le Niger était le deuxième fournisseur d'uranium naturel de l'UE en 2022, derrière le Kazakhstan, mais sa part dans l'offre mondiale a diminué en 2021. Malgré cela, le ministère français de la Transition énergétique a assuré qu'il n'y avait aucun risque pour la sécurité d'approvisionnement de la France en uranium naturel. La France a diversifié ses sources d'approvisionnement et a mis en place une gestion des stocks pour plusieurs années, en plus de développer le recyclage du combustible usé par EDF, (Électricité de France), une entreprise publique française de production et de fourniture d'électricité.
En ce moment où le Niger, deuxième fournisseur d’uranium naturel de l’UE, (25,38 % des importations européennes d’uranium naturel), traverse une crise politique, certains s’inquiètent de la faculté d’EDF à alimenter les 56 réacteurs français sans le précieux uranium nigérien, remettant donc en question l’indépendance énergétique française.
« En dépit du coup d'Etat militaire survenu au Niger mercredi 26 juillet, Orano affirme que ses activités dans le pays se poursuivent normalement. Le groupe minier français assure également que la situation ne remet pas en cause son partenariat signé avec l'Etat du Niger en mai 2023 pour la poursuite de l'exploitation de l'uranium », a rapporté dans un article, mardi 1er aout, L’Usine Nouvelle, un magazine mensuel français du Groupe Industrie Services Info consacré à l'économie et aux technologies dans le monde industriel.
« Il n'y a pas de risque d'approvisionnement en ce qui concerne l'UE. Les opérateurs de l'UE disposent de stocks suffisants d'uranium naturel pour atténuer tout risque d'approvisionnement à court terme », a indiqué Adalbert Jahnz, un porte-parole de l'exécutif européen, lors d'une conférence de presse tenu le 1er aout 2023. « A moyen et long terme, il existe suffisamment de gisements sur le marché mondial pour couvrir les besoins de l'UE », a ajouté le porte-parole.
Le Niger est un fournisseur majeur d'uranium pour les centrales nucléaires européennes, mais la Commission européenne a souligné que le processus d'enrichissement permettait de gérer la situation en utilisant les stocks existants.
Le Niger était le deuxième fournisseur d'uranium naturel de l'UE en 2022, derrière le Kazakhstan, mais sa part dans l'offre mondiale a diminué en 2021. Malgré cela, le ministère français de la Transition énergétique a assuré qu'il n'y avait aucun risque pour la sécurité d'approvisionnement de la France en uranium naturel. La France a diversifié ses sources d'approvisionnement et a mis en place une gestion des stocks pour plusieurs années, en plus de développer le recyclage du combustible usé par EDF, (Électricité de France), une entreprise publique française de production et de fourniture d'électricité.
En ce moment où le Niger, deuxième fournisseur d’uranium naturel de l’UE, (25,38 % des importations européennes d’uranium naturel), traverse une crise politique, certains s’inquiètent de la faculté d’EDF à alimenter les 56 réacteurs français sans le précieux uranium nigérien, remettant donc en question l’indépendance énergétique française.
« En dépit du coup d'Etat militaire survenu au Niger mercredi 26 juillet, Orano affirme que ses activités dans le pays se poursuivent normalement. Le groupe minier français assure également que la situation ne remet pas en cause son partenariat signé avec l'Etat du Niger en mai 2023 pour la poursuite de l'exploitation de l'uranium », a rapporté dans un article, mardi 1er aout, L’Usine Nouvelle, un magazine mensuel français du Groupe Industrie Services Info consacré à l'économie et aux technologies dans le monde industriel.