Cette opération inopinée visait à neutraliser les objets prohibés circulant au sein de l’établissement pénitentiaire. Le procureur de la République, Moussa Abdelkerim Saleh, présent aux côtés des autorités des forces de sécurité intérieure, a rappelé aux responsables pénitentiaires l’obligation de veiller au strict respect du règlement intérieur.
Dès les premières lueurs du jour, un important dispositif sécuritaire a été déployé dans l’enceinte de la maison d’arrêt. Gendarmes, policiers et agents pénitentiaires ont procédé, cellule après cellule, à une fouille méticuleuse et sans complaisance.
Menée dans la plus grande discrétion, l’opération a permis de mettre à jour une quantité impressionnante d’objets interdits soigneusement dissimulés par les détenus.
Le bilan est éloquent : 300 téléphones portables, 228 armes blanches, 79 cartes SIM, 17 doses de stupéfiants, 5 litres de drogues artisanales ainsi que divers accessoires dangereux ont été saisis. Selon les autorités, ces objets constituent une menace permanente, non seulement pour la sécurité des détenus eux-mêmes, mais aussi pour l’ordre public au sein de l’établissement.
Dans une déclaration à la presse, le procureur Moussa Abdelkerim Saleh s’est dit indigné par la présence de tels objets dans un lieu censé être sous haute surveillance.
« Il est inadmissible que certains détenus utilisent des téléphones pour escroquer des citoyens depuis leurs cellules. Les responsables de la maison d’arrêt doivent désormais redoubler de vigilance pour que de telles pratiques cessent », a-t-il martelé avec fermeté.
Le magistrat a rappelé que la détention d’objets prohibés constitue une infraction grave et un manquement au régime disciplinaire en vigueur. Il a exhorté le personnel de surveillance à renforcer le contrôle pour empêcher toute introduction illicite d’objets dangereux.
Enfin, le procureur a félicité les forces mobilisées pour leur professionnalisme et leur sens du devoir, tout en appelant à une vigilance accrue afin de garantir un environnement carcéral plus sûr et plus humain.
Dès les premières lueurs du jour, un important dispositif sécuritaire a été déployé dans l’enceinte de la maison d’arrêt. Gendarmes, policiers et agents pénitentiaires ont procédé, cellule après cellule, à une fouille méticuleuse et sans complaisance.
Menée dans la plus grande discrétion, l’opération a permis de mettre à jour une quantité impressionnante d’objets interdits soigneusement dissimulés par les détenus.
Le bilan est éloquent : 300 téléphones portables, 228 armes blanches, 79 cartes SIM, 17 doses de stupéfiants, 5 litres de drogues artisanales ainsi que divers accessoires dangereux ont été saisis. Selon les autorités, ces objets constituent une menace permanente, non seulement pour la sécurité des détenus eux-mêmes, mais aussi pour l’ordre public au sein de l’établissement.
Dans une déclaration à la presse, le procureur Moussa Abdelkerim Saleh s’est dit indigné par la présence de tels objets dans un lieu censé être sous haute surveillance.
« Il est inadmissible que certains détenus utilisent des téléphones pour escroquer des citoyens depuis leurs cellules. Les responsables de la maison d’arrêt doivent désormais redoubler de vigilance pour que de telles pratiques cessent », a-t-il martelé avec fermeté.
Le magistrat a rappelé que la détention d’objets prohibés constitue une infraction grave et un manquement au régime disciplinaire en vigueur. Il a exhorté le personnel de surveillance à renforcer le contrôle pour empêcher toute introduction illicite d’objets dangereux.
Enfin, le procureur a félicité les forces mobilisées pour leur professionnalisme et leur sens du devoir, tout en appelant à une vigilance accrue afin de garantir un environnement carcéral plus sûr et plus humain.