Dans une déclaration publique, le porte-parole du collectif, Dr Ablao Kaimon Frédéric, a exprimé une profonde préoccupation quant aux irrégularités observées dans le processus d’intégration exceptionnelle. Le collectif déplore un manque de transparence et une absence de représentativité, notamment par la non-application du critère d’ancienneté, pourtant essentiel dans le recrutement à la fonction publique, ainsi que par l’exclusion des deux syndicats des médecins et pharmaciens de la commission d'intégration.
Selon le collectif, ces dysfonctionnements ont conduit à l'omission injustifiée de plusieurs praticiens issus de diverses promotions. Il réclame l’intégration immédiate de 22 médecins, répartis comme suit :
Il souligne par ailleurs l’extrême pénurie de pharmaciens au Tchad : avec un seul pharmacien pour 221 777 habitants, le pays reste très en dessous de la norme recommandée par l’OMS (1 pour 10 000 habitants). Ce déficit alarmant nuit gravement à l’accès équitable aux soins.
Face à cette situation, le collectif en appelle aux plus hautes autorités du pays, et particulièrement au Maréchal du Tchad, garant de l’unité nationale et de l’équité, pour une implication personnelle en faveur d’une résolution rapide. Il insiste sur la nécessité d’une régularisation équitable des professionnels de santé omis, afin d’optimiser les ressources humaines qualifiées et renforcer durablement le système de santé national.
Selon le collectif, ces dysfonctionnements ont conduit à l'omission injustifiée de plusieurs praticiens issus de diverses promotions. Il réclame l’intégration immédiate de 22 médecins, répartis comme suit :
- 10 issus de la 24ᵉ promotion,
- 1 de la 25ᵉ,
- 2 de la 26ᵉ,
- 9 de la 2ᵉ promotion d’Abéché,
- ainsi que des médecins formés à l’étranger.
Il souligne par ailleurs l’extrême pénurie de pharmaciens au Tchad : avec un seul pharmacien pour 221 777 habitants, le pays reste très en dessous de la norme recommandée par l’OMS (1 pour 10 000 habitants). Ce déficit alarmant nuit gravement à l’accès équitable aux soins.
Face à cette situation, le collectif en appelle aux plus hautes autorités du pays, et particulièrement au Maréchal du Tchad, garant de l’unité nationale et de l’équité, pour une implication personnelle en faveur d’une résolution rapide. Il insiste sur la nécessité d’une régularisation équitable des professionnels de santé omis, afin d’optimiser les ressources humaines qualifiées et renforcer durablement le système de santé national.