Placée sous la direction de M. Tahir Abdelkerim Bahar, Chef de la Commission chargée de la réinsertion, cette rencontre visait à faire le point avec les représentants des ex-travailleurs sur leurs aspirations professionnelles et les perspectives envisagées pour leur insertion sur le marché de l’emploi.
Au total, 307 anciens employés ont été interrogés par deux équipes de conseillers en emploi expérimentés, déployés dans les zones de Farcha et Walia. Les résultats de ces entretiens se répartissent comme suit :
🔹 Zone de Farcha
127 personnes interrogées, dont 46 anciens salariés permanents et 81 personnels dits « intermédiaires ».
Parmi les permanents, 29 souhaitent retrouver un emploi salarié, tandis que 17 expriment une volonté de se lancer dans une activité indépendante.
Du côté des intermédiaires, 64 privilégient un retour au salariat et 17 aspirent à l’auto-emploi.
Au total, 307 anciens employés ont été interrogés par deux équipes de conseillers en emploi expérimentés, déployés dans les zones de Farcha et Walia. Les résultats de ces entretiens se répartissent comme suit :
🔹 Zone de Farcha
127 personnes interrogées, dont 46 anciens salariés permanents et 81 personnels dits « intermédiaires ».
Parmi les permanents, 29 souhaitent retrouver un emploi salarié, tandis que 17 expriment une volonté de se lancer dans une activité indépendante.
Du côté des intermédiaires, 64 privilégient un retour au salariat et 17 aspirent à l’auto-emploi.
🔹 Zone de Walia
180 personnes ont été interrogées, réparties entre 75 permanents et 105 intermédiaires.
Parmi les permanents, 51 ambitionnent de reprendre une activité salariée, contre 24 qui préfèrent l’entrepreneuriat.
Pour les intermédiaires, 69 penchent pour un emploi salarié et 36 envisagent une activité indépendante.
Les profils des ex-travailleurs recensés sont particulièrement variés, allant de la sécurité à la logistique, en passant par l’enseignement et d'autres secteurs techniques ou administratifs. Cette diversité constitue un atout pour leur réinsertion, notamment à travers des dispositifs d’accompagnement ciblés.
Pour donner une suite concrète à ces aspirations, la Commission a annoncé la préparation d’une Journée de l’Emploi, en collaboration avec des partenaires publics et privés, afin de mettre en relation ces ex-travailleurs avec des entreprises en quête de main-d’œuvre qualifiée.
L’ONAPE réaffirme ainsi son engagement en faveur d’une insertion professionnelle durable et inclusive, en particulier pour les travailleurs touchés par les transformations géopolitiques ou économiques.
180 personnes ont été interrogées, réparties entre 75 permanents et 105 intermédiaires.
Parmi les permanents, 51 ambitionnent de reprendre une activité salariée, contre 24 qui préfèrent l’entrepreneuriat.
Pour les intermédiaires, 69 penchent pour un emploi salarié et 36 envisagent une activité indépendante.
Les profils des ex-travailleurs recensés sont particulièrement variés, allant de la sécurité à la logistique, en passant par l’enseignement et d'autres secteurs techniques ou administratifs. Cette diversité constitue un atout pour leur réinsertion, notamment à travers des dispositifs d’accompagnement ciblés.
Pour donner une suite concrète à ces aspirations, la Commission a annoncé la préparation d’une Journée de l’Emploi, en collaboration avec des partenaires publics et privés, afin de mettre en relation ces ex-travailleurs avec des entreprises en quête de main-d’œuvre qualifiée.
L’ONAPE réaffirme ainsi son engagement en faveur d’une insertion professionnelle durable et inclusive, en particulier pour les travailleurs touchés par les transformations géopolitiques ou économiques.