Prenant la parole en ouverture, le Secrétaire général du ministère et président du comité d’organisation, Nicolas Vaibra, a souhaité la bienvenue à l’assistance. Il a rappelé que cette session s’inscrit dans un contexte de défis multiples, notamment : la pénurie persistante d’enseignants dans de nombreuses provinces, le départ massif à la retraite d’agents, les décès et cas d’invalidité dus aux maladies, et la nécessité pressante de rationaliser la gestion des ressources humaines dans le secteur éducatif.
Il a également salué l’introduction de la plateforme numérique MIRADOR, une innovation majeure visant une gestion plus transparente, objective et moderne des ressources humaines.
Une éducation équitable comme priorité
Dans son discours officiel d’ouverture, le ministre Dr Aboubakar Assidick Choroma a retracé brièvement l’historique de la CONAM, avant de souligner que l'éducation constitue un pilier central de la politique gouvernementale sous l’impulsion du Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno. Il a insisté sur la nécessité d’assurer une éducation de base gratuite, inclusive et de qualité pour tous.
Entre 2023 et 2024, 916 enseignants ont été admis à la retraite, et 553 autres sont attendus en 2025, a-t-il précisé. De plus, un nombre important d’enseignants occupent actuellement des fonctions administratives, les éloignant des salles de classe. Cette situation crée un déséquilibre alarmant, particulièrement dans les zones rurales, enclavées ou frontalières, où les élèves sont souvent privés d’un encadrement pédagogique adéquat.
Un redéploiement stratégique
Pour remédier à cette situation, le ministère a adopté une stratégie de redéploiement immédiat des enseignants non affectés à l’enseignement direct, et une réduction du nombre d’agents dans les services administratifs. Une coordination étroite entre les académies, les délégations provinciales et la direction des ressources humaines est également prévue pour une meilleure maîtrise des effectifs.
Le ministre a insisté sur l’importance de la plateforme MIRADOR, qui permet des affectations fondées sur des critères de mérite, d’objectivité et de besoin réel, tout en garantissant une gestion centralisée et équitable des ressources humaines. « Cet outil rompt avec les pratiques d’affectation arbitraires et favorise un meilleur équilibre territorial », a-t-il souligné.
Le ministre a exhorté les participants à accorder une attention particulière aux zones les plus déficitaires, où des enfants attendent un enseignant depuis plusieurs mois, voire plusieurs années. L’objectif est de réduire les inégalités d’accès à l’éducation et d’assurer un enseignement de qualité sur l’ensemble du territoire national.
Il a également salué l’introduction de la plateforme numérique MIRADOR, une innovation majeure visant une gestion plus transparente, objective et moderne des ressources humaines.
Une éducation équitable comme priorité
Dans son discours officiel d’ouverture, le ministre Dr Aboubakar Assidick Choroma a retracé brièvement l’historique de la CONAM, avant de souligner que l'éducation constitue un pilier central de la politique gouvernementale sous l’impulsion du Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno. Il a insisté sur la nécessité d’assurer une éducation de base gratuite, inclusive et de qualité pour tous.
Entre 2023 et 2024, 916 enseignants ont été admis à la retraite, et 553 autres sont attendus en 2025, a-t-il précisé. De plus, un nombre important d’enseignants occupent actuellement des fonctions administratives, les éloignant des salles de classe. Cette situation crée un déséquilibre alarmant, particulièrement dans les zones rurales, enclavées ou frontalières, où les élèves sont souvent privés d’un encadrement pédagogique adéquat.
Un redéploiement stratégique
Pour remédier à cette situation, le ministère a adopté une stratégie de redéploiement immédiat des enseignants non affectés à l’enseignement direct, et une réduction du nombre d’agents dans les services administratifs. Une coordination étroite entre les académies, les délégations provinciales et la direction des ressources humaines est également prévue pour une meilleure maîtrise des effectifs.
Le ministre a insisté sur l’importance de la plateforme MIRADOR, qui permet des affectations fondées sur des critères de mérite, d’objectivité et de besoin réel, tout en garantissant une gestion centralisée et équitable des ressources humaines. « Cet outil rompt avec les pratiques d’affectation arbitraires et favorise un meilleur équilibre territorial », a-t-il souligné.
Le ministre a exhorté les participants à accorder une attention particulière aux zones les plus déficitaires, où des enfants attendent un enseignant depuis plusieurs mois, voire plusieurs années. L’objectif est de réduire les inégalités d’accès à l’éducation et d’assurer un enseignement de qualité sur l’ensemble du territoire national.