Selon Mme Fatimé Adoum, le malheureux événement s'est produit hier, lorsque M. Gam Robert a eu une rencontre avec une délégation du parti Les Patriotes, conduite par le Président national Dr Nassour Koursami, dans le cadre de la mutualisation des forces vives de la nation. À l'issue de cette rencontre, explique-t-elle, les militants du PSF ont remarqué la présence de trois véhicules aux vitres teintées en noir et non immatriculés, accompagnés de quelques motos, stationnés non loin du siège du PSF, situé dans le quartier Chagoua, 7ème Arrondissement.
C'est dans ce climat de peur, ajoute-t-elle, qu'un des militants du PSF, M. Yacoub Hanis, a échappé de justesse à une arrestation par des agents des services de renseignement, alors qu'il se rendait chez lui, à proximité de la Radio FM Liberté.
D'après Mme Fatimé Adoum, la nouvelle de l'enlèvement de M. Gam Robert est tombée lorsque sa femme, qui l'avait appelé durant toute la nuit sans succès, n'arrivait pas à le joindre sur son téléphone.
« Pourquoi cet acharnement contre le PSF ? », s'est interrogée Mme Fatimé Adoum. « Je ne comprends pas cette méthode d'enlèvements devenue monnaie courante, qui vise à étouffer les efforts des citoyens ayant des opinions divergentes, et qui œuvrent pour la démocratie, la justice et la dignité humaine. Mais bien au contraire, cette méthode ne fera que renforcer notre conviction de changer les choses pacifiquement. Pourtant, M. Gam Robert n'a reçu aucune convocation. » a-t-elle lancé.
Mme Fatimé Adoum s'est également interrogée sur le silence assourdissant des partenaires du Tchad : « Veulent-ils que le pays sombre dans l'anarchie ou le chaos avant de réagir ? »
Enfin, le PSF exige la libération immédiate et sans condition de son Secrétaire Général, et interpelle le gouvernement, les partenaires du Tchad, ainsi que le Président de la République, Mahamat Idriss Deby Itno, pour qu'ils revoient cette méthode d'enlèvement, digne des régimes tyranniques.
C'est dans ce climat de peur, ajoute-t-elle, qu'un des militants du PSF, M. Yacoub Hanis, a échappé de justesse à une arrestation par des agents des services de renseignement, alors qu'il se rendait chez lui, à proximité de la Radio FM Liberté.
D'après Mme Fatimé Adoum, la nouvelle de l'enlèvement de M. Gam Robert est tombée lorsque sa femme, qui l'avait appelé durant toute la nuit sans succès, n'arrivait pas à le joindre sur son téléphone.
« Pourquoi cet acharnement contre le PSF ? », s'est interrogée Mme Fatimé Adoum. « Je ne comprends pas cette méthode d'enlèvements devenue monnaie courante, qui vise à étouffer les efforts des citoyens ayant des opinions divergentes, et qui œuvrent pour la démocratie, la justice et la dignité humaine. Mais bien au contraire, cette méthode ne fera que renforcer notre conviction de changer les choses pacifiquement. Pourtant, M. Gam Robert n'a reçu aucune convocation. » a-t-elle lancé.
Mme Fatimé Adoum s'est également interrogée sur le silence assourdissant des partenaires du Tchad : « Veulent-ils que le pays sombre dans l'anarchie ou le chaos avant de réagir ? »
Enfin, le PSF exige la libération immédiate et sans condition de son Secrétaire Général, et interpelle le gouvernement, les partenaires du Tchad, ainsi que le Président de la République, Mahamat Idriss Deby Itno, pour qu'ils revoient cette méthode d'enlèvement, digne des régimes tyranniques.