Ce rang, bien que peu flatteur, offre un regard lucide sur les défis structurels que la capitale tchadienne doit relever pour améliorer son attractivité et sa compétitivité à l’échelle internationale.
Un classement fondé sur cinq piliers
L’indice OEGCI évalue les villes à travers cinq dimensions fondamentales :
Un classement fondé sur cinq piliers
L’indice OEGCI évalue les villes à travers cinq dimensions fondamentales :
- Économie – Vitalité du tissu économique, attractivité pour les investisseurs.
- Recherche & Développement – Capacité d’innovation, universités, infrastructures scientifiques.
- Interaction culturelle – Diversité culturelle, rayonnement artistique et médiatique.
- Environnement – Gestion écologique, résilience urbaine, infrastructures vertes.
- Gouvernance – Qualité des politiques publiques, transparence, stabilité institutionnelle.
Des lacunes persistantes… mais des opportunités
Le bas rang de N’Djamena est symptomatique des défis structurels auxquels font face de nombreuses villes africaines en développement :
Le bas rang de N’Djamena est symptomatique des défis structurels auxquels font face de nombreuses villes africaines en développement :
- Urbanisation non planifiée ;
- Insuffisance des infrastructures de transport et de services publics ;
- Faible insertion dans les réseaux économiques et académiques internationaux ;
- Problèmes d’approvisionnement en eau, énergie et assainissement.
Quelles perspectives pour N’Djamena ?
Pour remonter dans le classement mondial, N’Djamena doit amorcer des réformes concrètes :
Un classement révélateur, pas définitif
Le rang de N’Djamena dans l’OEGCI 2025 est un signal d’alerte, mais pas une fatalité. Il rappelle l’urgence de repenser la ville comme un pôle de développement humain et économique. En investissant dans les bons leviers, la capitale tchadienne peut progressivement améliorer sa performance et son rayonnement régional.
Pour remonter dans le classement mondial, N’Djamena doit amorcer des réformes concrètes :
- Renforcement des infrastructures urbaines (routes, éclairage, transports publics) ;
- Appui à l’entrepreneuriat et à l’économie locale ;
- Valorisation du potentiel culturel et touristique ;
- Modernisation de la gouvernance municipale.
Un classement révélateur, pas définitif
Le rang de N’Djamena dans l’OEGCI 2025 est un signal d’alerte, mais pas une fatalité. Il rappelle l’urgence de repenser la ville comme un pôle de développement humain et économique. En investissant dans les bons leviers, la capitale tchadienne peut progressivement améliorer sa performance et son rayonnement régional.