Lors de cette rencontre, plusieurs imams et khalifas de la localité ont pris la parole pour manifester leur mécontentement face à cette désignation. Ils ont souligné que, suite au décès de l'ancien chef de canton, la désignation du nouveau chef aurait dû se faire par voie d'élections et non par consensus familial, comme cela semble avoir été le cas.
Suite à cette protestation collective, les représentants religieux et communautaires se sont rendus auprès du préfet du département de Ouara afin de déposer un procès-verbal officiel. Leur démarche vise à solliciter une résolution rapide de cette situation contestée. L'affaire est donc à suivre.