Le coordonnateur de l’Association Prefixe Tchad, Ndilabaye Ngarmadji, a animé ce matin à Sarh un point de presse relatif à la mise en œuvre d’un projet qui, à travers des assemblées publiques et des émissions radions, contribuera à mieux faire entendre la voix des citoyens, notamment ceux du monde rural, lors du Dialogue National Inclusif.
Dans son intervention, Ndilabaye Ngarmadji a notifié que les assemblées publiques serviront de plate-forme pour établir des relations entre les responsables locaux et les populations qu’ils servent, afin de produire des recommandations au gouvernement de transition sur les besoins et les priorités du monde rural.
Il a ajouté qu’il faut faire entendre la voix de ces personnes marginalisées des zones rurales, lors du processus du Dialogue National Inclusif, en recueillant et en partageant leurs opinions et recommandations avec les autorités locales. Le Comité du Dialogue National Inclusif et le Conseil National de Transition, sont des actions salvatrices en faveur de ces personnes marginalisées et oubliées.
Selon lui, le monde rural contribue efficacement au développement socioéconomique du Tchad. La théorie du changement est que si les communautés rurales sont mieux impliquées et informées, les réflexions du Dialogue National Inclusif seront véritablement inclusives, a conclu le Coordonnateur de l’Association Prefixe Tchad, Ndilabaye Ngarmadji.
Il faut noter que l’Association Préfixe mettra en œuvre ce projet dans les villages de Behongo (canton de Danamadji), Kokaga (canton de Kokaga), quelques fericks et dans toute la province du Moyen-Chari, à travers des émissions radio, en français, arabe et sara avec les recommandations des assemblées publiques des deux villages.
Dans son intervention, Ndilabaye Ngarmadji a notifié que les assemblées publiques serviront de plate-forme pour établir des relations entre les responsables locaux et les populations qu’ils servent, afin de produire des recommandations au gouvernement de transition sur les besoins et les priorités du monde rural.
Il a ajouté qu’il faut faire entendre la voix de ces personnes marginalisées des zones rurales, lors du processus du Dialogue National Inclusif, en recueillant et en partageant leurs opinions et recommandations avec les autorités locales. Le Comité du Dialogue National Inclusif et le Conseil National de Transition, sont des actions salvatrices en faveur de ces personnes marginalisées et oubliées.
Selon lui, le monde rural contribue efficacement au développement socioéconomique du Tchad. La théorie du changement est que si les communautés rurales sont mieux impliquées et informées, les réflexions du Dialogue National Inclusif seront véritablement inclusives, a conclu le Coordonnateur de l’Association Prefixe Tchad, Ndilabaye Ngarmadji.
Il faut noter que l’Association Préfixe mettra en œuvre ce projet dans les villages de Behongo (canton de Danamadji), Kokaga (canton de Kokaga), quelques fericks et dans toute la province du Moyen-Chari, à travers des émissions radio, en français, arabe et sara avec les recommandations des assemblées publiques des deux villages.