
Il n’était pas qu’un artiste. Rayskim EDM était une voix, une conscience, un cri du cœur. Celui d’une génération qui voulait se dire, se comprendre, se relever.
Aujourd’hui, le Tchad pleure un précurseur, un visionnaire, un bâtisseur de mots et de rythmes qui a su transformer la scène urbaine en un espace d’expression, de révolte et d’espoir. Quand il montait sur scène, le silence se faisait presque religieux. Son flow, tantôt percutant, tantôt poétique, mêlait la force du rap à la profondeur du slam.
Rayskim ne se contentait pas de rimer, il peignait la réalité tchadienne avec des mots justes, parfois durs, mais toujours sincères. Ses textes parlaient de dignité, de courage, d’amour et de lutte, des thèmes qui résonnaient dans les rues de N’Djamena comme dans les cœurs des jeunes.
Précurseur du rap-slam au Tchad, Rayskim EDM a ouvert la voie à toute une génération d’artistes qui, grâce à lui, ont compris que la musique pouvait être un moyen de réflexion et de revendication. Il a su donner au verbe une puissance nouvelle, celle de la vérité portée sur un beat. Pour beaucoup, Rayskim n’était pas seulement un musicien : il était un maître de scène, un frère d’âme, un baobab de la culture urbaine.
À travers ses prestations, il prouvait qu’on pouvait être fier d’être Tchadien, fier de porter sa voix, fier de créer. Aujourd’hui, alors que le micro s’est tu, son écho résonne encore. Ses mots continuent d’habiter les esprits, ses textes d’inspirer les jeunes talents, et son empreinte reste indélébile sur la scène hip-hop nationale. Rayskim EDM n’est plus là, mais son art, lui, ne mourra jamais.
Il restera ce flambeau éternel, celui qui a allumé la lumière du rap-slam tchadien, et qui continue d’éclairer les pas de ceux qui marchent dans sa trace.
Aujourd’hui, le Tchad pleure un précurseur, un visionnaire, un bâtisseur de mots et de rythmes qui a su transformer la scène urbaine en un espace d’expression, de révolte et d’espoir. Quand il montait sur scène, le silence se faisait presque religieux. Son flow, tantôt percutant, tantôt poétique, mêlait la force du rap à la profondeur du slam.
Rayskim ne se contentait pas de rimer, il peignait la réalité tchadienne avec des mots justes, parfois durs, mais toujours sincères. Ses textes parlaient de dignité, de courage, d’amour et de lutte, des thèmes qui résonnaient dans les rues de N’Djamena comme dans les cœurs des jeunes.
Précurseur du rap-slam au Tchad, Rayskim EDM a ouvert la voie à toute une génération d’artistes qui, grâce à lui, ont compris que la musique pouvait être un moyen de réflexion et de revendication. Il a su donner au verbe une puissance nouvelle, celle de la vérité portée sur un beat. Pour beaucoup, Rayskim n’était pas seulement un musicien : il était un maître de scène, un frère d’âme, un baobab de la culture urbaine.
À travers ses prestations, il prouvait qu’on pouvait être fier d’être Tchadien, fier de porter sa voix, fier de créer. Aujourd’hui, alors que le micro s’est tu, son écho résonne encore. Ses mots continuent d’habiter les esprits, ses textes d’inspirer les jeunes talents, et son empreinte reste indélébile sur la scène hip-hop nationale. Rayskim EDM n’est plus là, mais son art, lui, ne mourra jamais.
Il restera ce flambeau éternel, celui qui a allumé la lumière du rap-slam tchadien, et qui continue d’éclairer les pas de ceux qui marchent dans sa trace.