L’Association pour la Réinsertion des Enfants et la Défense des Droits de l’Homme (ARED), en partenariat avec le Haut-Commissariat des Nations-Unies aux droits de l’homme, a organisé ce mardi, 29 juillet 2025 à Sarh, un atelier provincial axé sur la lutte contre les violences faites aux femmes et la traite des personnes.
La rencontre s’est tenue au Palais des arts et de la culture Ngarta Tombalbaye de Sarh, en présence des autorités administratives, des responsables des services déconcentrés de l’État, ainsi que des représentants de la société civile. L’objectif de cette session de formation est de renforcer la protection des populations vulnérables, notamment les femmes, les enfants et les jeunes contre les graves violations des droits humains.
Dans son mot d’ouverture, le coordonnateur national d’ARED, Madjiyera Ngar Alkoua, a tiré la sonnette d’alarme sur les conséquences dramatiques de ces violences. « Ces pratiques détruisent la dignité humaine. Elles provoquent humiliation, douleur et exclusion sociale. Il est temps que nous agissions ensemble pour y mettre fin », a-t-il lancé.
Prenant la parole à son tour, le secrétaire général de la province du Moyen-Chari, Fidèle Kodé Ngolo, a souligné les efforts déjà déployés par les autorités, à travers des conférences, débats et campagnes de sensibilisation. « Mais malgré tout cela, ces phénomènes persistent, en particulier ici dans notre province.
C’est pourquoi nous devons rester mobilisés pour stopper ces pratiques inhumaines », a-t-il insisté. Ce projet bénéficie du soutien financier de l’Union européenne et s’étend aux provinces du Mandoul et du Moyen-Chari. Il vise à renforcer les capacités des acteurs locaux, pour une meilleure prévention, une réponse plus efficace, et un accompagnement des victimes sur le terrain.
La rencontre s’est tenue au Palais des arts et de la culture Ngarta Tombalbaye de Sarh, en présence des autorités administratives, des responsables des services déconcentrés de l’État, ainsi que des représentants de la société civile. L’objectif de cette session de formation est de renforcer la protection des populations vulnérables, notamment les femmes, les enfants et les jeunes contre les graves violations des droits humains.
Dans son mot d’ouverture, le coordonnateur national d’ARED, Madjiyera Ngar Alkoua, a tiré la sonnette d’alarme sur les conséquences dramatiques de ces violences. « Ces pratiques détruisent la dignité humaine. Elles provoquent humiliation, douleur et exclusion sociale. Il est temps que nous agissions ensemble pour y mettre fin », a-t-il lancé.
Prenant la parole à son tour, le secrétaire général de la province du Moyen-Chari, Fidèle Kodé Ngolo, a souligné les efforts déjà déployés par les autorités, à travers des conférences, débats et campagnes de sensibilisation. « Mais malgré tout cela, ces phénomènes persistent, en particulier ici dans notre province.
C’est pourquoi nous devons rester mobilisés pour stopper ces pratiques inhumaines », a-t-il insisté. Ce projet bénéficie du soutien financier de l’Union européenne et s’étend aux provinces du Mandoul et du Moyen-Chari. Il vise à renforcer les capacités des acteurs locaux, pour une meilleure prévention, une réponse plus efficace, et un accompagnement des victimes sur le terrain.