Dans la société tchadienne, il n’est plus à démontrer que les femmes se battent pour prendre leur vie en main. Le quotidien de ces dames de fer est rempli de souffrance, de difficultés, pour satisfaire les besoins de leurs familles. Qu’elles soient dans les activités formelles ou informelles, elles ne se lassent pas de prendre en charge leurs familles.
Deneram Solange, une femme âgée d’une quarantaine d’années fait partie de ces femmes prises au piège par leur destin. Assise sous un arbre, entourée de ses clients, elle dégage une énergie inouïe dans son sourire. Mère de trois enfants, elle vend les légumes et du poisson fumé, depuis des dizaines d’années pour pourvoir aux besoins de sa famille. Interrogée sur son quotidien et ses charges familiales, Solange devient du coup, accablée.
Tout de même, elle s’efforce à nous raconter l’histoire de sa vie : « C’est depuis des années que je prends seule la charge de mes enfants. Leur scolarité, leur santé, leur ration, tout est à ma charge pendant que leur papa est présent. Quand j’essaye d’en parler, il en fait tout un problème. J’en ai également parlé aux membres de sa famille qui l’ont conseillé, mais rien n’a changé », s’indigne-t-elle.
Et la jeune dame d’ajouter : « je ne peux voir mes enfants souffrir, je ne sais à quel Saint me vouer, je n’ai pas autre choix que d’assumer cette responsabilité. C’est bien dommage, mais beaucoup de femmes souffrent comme moi dans leur foyer ». Allahrassem Frederic est un jeune homme âgé d’une vingtaine d’années, qui vient d’avoir sa licence en sciences politiques.
Témoin des efforts et des sacrifices consentis par sa maman Deneram Solange, pour la réussite de ses études, il se dit très fier et reconnaissant envers toutes ces femmes qui se battent jour et nuit, pour que leurs familles ne manquent de rien. Il salue le courage de ces femmes qui bravent tous les obstacles possibles, pour faire de leurs enfants, des hauts cadres dans la société.
En effet, la majorité des hommes interrogés sur la prise en charge familiale par les femmes soutiennent que, cette responsabilité incombe premièrement aux hommes, qui doivent assurer leur rôle de chef de famille. Ils les interpellent à soutenir et à encourager toutes les femmes qui prennent la charge de la famille, s’ils n’ont pas la possibilité de le faire. Les efforts de ces femmes sont à louer, ajoutent-ils.
Deneram Solange, une femme âgée d’une quarantaine d’années fait partie de ces femmes prises au piège par leur destin. Assise sous un arbre, entourée de ses clients, elle dégage une énergie inouïe dans son sourire. Mère de trois enfants, elle vend les légumes et du poisson fumé, depuis des dizaines d’années pour pourvoir aux besoins de sa famille. Interrogée sur son quotidien et ses charges familiales, Solange devient du coup, accablée.
Tout de même, elle s’efforce à nous raconter l’histoire de sa vie : « C’est depuis des années que je prends seule la charge de mes enfants. Leur scolarité, leur santé, leur ration, tout est à ma charge pendant que leur papa est présent. Quand j’essaye d’en parler, il en fait tout un problème. J’en ai également parlé aux membres de sa famille qui l’ont conseillé, mais rien n’a changé », s’indigne-t-elle.
Et la jeune dame d’ajouter : « je ne peux voir mes enfants souffrir, je ne sais à quel Saint me vouer, je n’ai pas autre choix que d’assumer cette responsabilité. C’est bien dommage, mais beaucoup de femmes souffrent comme moi dans leur foyer ». Allahrassem Frederic est un jeune homme âgé d’une vingtaine d’années, qui vient d’avoir sa licence en sciences politiques.
Témoin des efforts et des sacrifices consentis par sa maman Deneram Solange, pour la réussite de ses études, il se dit très fier et reconnaissant envers toutes ces femmes qui se battent jour et nuit, pour que leurs familles ne manquent de rien. Il salue le courage de ces femmes qui bravent tous les obstacles possibles, pour faire de leurs enfants, des hauts cadres dans la société.
En effet, la majorité des hommes interrogés sur la prise en charge familiale par les femmes soutiennent que, cette responsabilité incombe premièrement aux hommes, qui doivent assurer leur rôle de chef de famille. Ils les interpellent à soutenir et à encourager toutes les femmes qui prennent la charge de la famille, s’ils n’ont pas la possibilité de le faire. Les efforts de ces femmes sont à louer, ajoutent-ils.