Dans un contexte marqué par les défis humanitaires liés aux déplacements forcés, la communication devient un levier stratégique. C’est dans cet esprit que s’est ouvert ce 18 juin 2025 à Doba, un atelier de formation réunissant plus de vingt journalistes issus des villes de Sarh, Koumra, Moïssala, Goré et Moundou.
Organisée par le projet NexSud, cette session intensive de quatre jours vise à doter les professionnels des médias des outils nécessaires pour accompagner efficacement les communautés hôtes, réfugiées et retournées.
Le projet NexSud, intitulé, « Amélioration des conditions de vie et de la résilience des populations autochtones, réfugiées et retournées au sud du Tchad », est cofinancé par l’Agence Française de Développement (AFD) et l’Union Européenne. Il est mis en œuvre par un consortium formé de Caritas Suisse, IHDL et APLFT.
Son objectif est d’offrir des solutions durables aux besoins des populations affectées par les crises, tout en renforçant la cohésion sociale dans les zones d’accueil. Cet atelier ne se limite pas à de simples échanges théoriques. Il s’agit d’une immersion dans les enjeux de la communication sensible et inclusive.
Les participants seront formés à : l’appropriation de la stratégie de communication du projet, la production de contenus journalistiques adaptés aux contextes locaux, la couverture médiatique des violences basées sur le genre (VBG), et la promotion d’un journalisme sensible au genre, soucieux de représenter toutes les voix, notamment celles des femmes et des groupes vulnérables.
« Le média est une boussole qui peut orienter les opinions vers le progrès ou, au contraire, amplifier les fractures sociales. D’où l’importance de le responsabiliser, à travers ce type de formation. En valorisant les voix locales, en dénonçant les injustices, et en sensibilisant sur les enjeux de genre, les médias deviennent un maillon essentiel dans la chaîne de la résilience collective », a souligné Vincent Tohnant, chargé de programme NexSud.
Lors de la cérémonie d’ouverture, Guiradoum Ngardodjim, secrétaire général de la province du Logone Oriental, a salué cette initiative du consortium. Pour lui, cette démarche vient en renfort aux efforts de l’État dans la prise en charge des communautés déplacées et vulnérables.
« C’est ensemble, en combinant la force des institutions, des ONG et des médias, que nous pouvons construire un environnement de paix et de solidarité. Je vous encourage, chers journalistes, à porter haut cette mission sociale », a-t-il déclaré. Au cœur du projet NexSud, ce sont 63 006 bénéficiaires directs et 433 100 bénéficiaires indirects qui sont concernés.
Ceci à travers des transferts monétaires inconditionnels, le soutien à des activités génératrices de revenus (AGR), des appuis en intrants agricoles, et des campagnes de sensibilisation sur le changement de comportement.
Organisée par le projet NexSud, cette session intensive de quatre jours vise à doter les professionnels des médias des outils nécessaires pour accompagner efficacement les communautés hôtes, réfugiées et retournées.
Le projet NexSud, intitulé, « Amélioration des conditions de vie et de la résilience des populations autochtones, réfugiées et retournées au sud du Tchad », est cofinancé par l’Agence Française de Développement (AFD) et l’Union Européenne. Il est mis en œuvre par un consortium formé de Caritas Suisse, IHDL et APLFT.
Son objectif est d’offrir des solutions durables aux besoins des populations affectées par les crises, tout en renforçant la cohésion sociale dans les zones d’accueil. Cet atelier ne se limite pas à de simples échanges théoriques. Il s’agit d’une immersion dans les enjeux de la communication sensible et inclusive.
Les participants seront formés à : l’appropriation de la stratégie de communication du projet, la production de contenus journalistiques adaptés aux contextes locaux, la couverture médiatique des violences basées sur le genre (VBG), et la promotion d’un journalisme sensible au genre, soucieux de représenter toutes les voix, notamment celles des femmes et des groupes vulnérables.
« Le média est une boussole qui peut orienter les opinions vers le progrès ou, au contraire, amplifier les fractures sociales. D’où l’importance de le responsabiliser, à travers ce type de formation. En valorisant les voix locales, en dénonçant les injustices, et en sensibilisant sur les enjeux de genre, les médias deviennent un maillon essentiel dans la chaîne de la résilience collective », a souligné Vincent Tohnant, chargé de programme NexSud.
Lors de la cérémonie d’ouverture, Guiradoum Ngardodjim, secrétaire général de la province du Logone Oriental, a salué cette initiative du consortium. Pour lui, cette démarche vient en renfort aux efforts de l’État dans la prise en charge des communautés déplacées et vulnérables.
« C’est ensemble, en combinant la force des institutions, des ONG et des médias, que nous pouvons construire un environnement de paix et de solidarité. Je vous encourage, chers journalistes, à porter haut cette mission sociale », a-t-il déclaré. Au cœur du projet NexSud, ce sont 63 006 bénéficiaires directs et 433 100 bénéficiaires indirects qui sont concernés.
Ceci à travers des transferts monétaires inconditionnels, le soutien à des activités génératrices de revenus (AGR), des appuis en intrants agricoles, et des campagnes de sensibilisation sur le changement de comportement.