Les participants, venus notamment de plusieurs provinces du pays, ont été outillés afin d’améliorer la sensibilisation du public sur les violences sexuelles, en s’appuyant sur les principes du droit international humanitaire et les bonnes pratiques journalistiques.
Dans son allocution, la représentante des participants, Édith Kedai, a salué la qualité des interventions et la disponibilité des formateurs, dont les contributions ont été déterminantes pour la réussite de cette session.
« Nous repartons de cette formation mieux outillés et déterminés à intégrer les bonnes pratiques acquises afin d’améliorer le traitement médiatique des violences sexuelles », a-t-elle déclaré.
Pour sa part, le vice-président de l’Union des journalistes tchadiens (UJT), Leubnoudji Tah Nathan, a rappelé le rôle essentiel des journalistes dans la promotion de l’éthique, de la déontologie et de la défense des droits humains.
Dans son allocution, la représentante des participants, Édith Kedai, a salué la qualité des interventions et la disponibilité des formateurs, dont les contributions ont été déterminantes pour la réussite de cette session.
« Nous repartons de cette formation mieux outillés et déterminés à intégrer les bonnes pratiques acquises afin d’améliorer le traitement médiatique des violences sexuelles », a-t-elle déclaré.
Pour sa part, le vice-président de l’Union des journalistes tchadiens (UJT), Leubnoudji Tah Nathan, a rappelé le rôle essentiel des journalistes dans la promotion de l’éthique, de la déontologie et de la défense des droits humains.
« En tant qu’acteurs clés de la communication, vous avez la responsabilité de refléter la réalité de manière juste, équilibrée et respectueuse, tout en protégeant les victimes et en préservant leur dignité », a-t-il souligné.
De son côté, le chef de délégation du CICR, Thierry Ribaux, a dénoncé l’instrumentalisation des violences sexuelles comme un moyen de déshumanisation, tout en déplorant leur banalisation dans les conflits armés à travers le monde, y compris en Afrique. Il a rappelé aux médias leur responsabilité particulière, compte tenu du caractère intime et sensible de ces crimes.
Par ailleurs, il a insisté sur le fait que les violences sexuelles, souvent occultées ou traitées de façon réductrice, doivent faire l’objet d’un traitement médiatique rigoureux, favorisant la sensibilisation et la recherche de justice, tout en respectant strictement les principes fondamentaux du journalisme.
De son côté, le chef de délégation du CICR, Thierry Ribaux, a dénoncé l’instrumentalisation des violences sexuelles comme un moyen de déshumanisation, tout en déplorant leur banalisation dans les conflits armés à travers le monde, y compris en Afrique. Il a rappelé aux médias leur responsabilité particulière, compte tenu du caractère intime et sensible de ces crimes.
Par ailleurs, il a insisté sur le fait que les violences sexuelles, souvent occultées ou traitées de façon réductrice, doivent faire l’objet d’un traitement médiatique rigoureux, favorisant la sensibilisation et la recherche de justice, tout en respectant strictement les principes fondamentaux du journalisme.
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Tchad : des journalistes mieux outillés pour traiter la problématique des violences sexuelles, grâce au CICR









