
Artiste engagé, symbole d’une jeunesse créative et combative, son décès laisse derrière lui un vide immense, tant sur la scène musicale que dans le cœur de ses proches et admirateurs.
Une figure de l’art engagé
Ray’s Kim s’était imposé comme une voix singulière, capable de mêler musique, engagement social et message de tolérance. « Il a incarné la force de l’art engagé et l’espérance d’une jeunesse », a déclaré Pahimi Padacké Albert, soulignant que son œuvre restera une graine semée dans le cœur des Tchadiens.
Personnalités politiques, culturelles et religieuses se sont succédé pour exprimer leur douleur. "À chacune de nos rencontres, ces sont les taquineries qui prennent le dessus, à la surprise des profanes qui nous entourent souvent", a déclaré Abdel-Nasser Garboa, porte-parole du parti MPS. Hoïnathy Claudia a résumé l’horreur de cette disparition en une phrase poignante : « Tirez… et il donna sa poitrine. »
Pour le ministère de la Culture, Ray’s Kim restera une « icône de la scène musicale tchadienne » dont la voix résonnera encore longtemps. De son côté, l'artiste Mawndoé Célestin a réagi en présentant ses condoléances à la famille de l'artiste. Certains proches ont exprimé leur chagrin avec émotion : L'évêque Abbé Madou a confié : « Ray’s Kim, mon géant garçon, m’a tourné le dos ! Cœur brisé et broyé. »
Le vice-président du parti Les Transformateurs Ndolembai Sadé Njesada s’adresse à lui comme à un frère : « Ce vide que tu viens de laisser ne peut être comblé… dors en paix mon petit frère ! » Le chanteur Moussa Aimé se souvient « des veillées en studio et des tournées » où l’amitié comptait plus que les moyens.
Un symbole pour la jeunesse
Au-delà de l’artiste, Ray’s Kim incarnait l’espoir d’une génération. Le leader politique Nasour Ibrahim Koursami invite à « trouver la force dans la mémoire de cette perte tragique pour poursuivre la quête d’un Tchad plus juste et plus libre ».
Une perte nationale
Du monde politique, où Ahmat Haroun Larry et Mahamat Zene Chérif ont salué la mémoire d’« un frère et camarade de lutte », à la scène artistique où Afrotronix rappelle son intégrité et sa loyauté, les hommages convergent pour dire combien le vide laissé par Ray’s Kim est immense.
Le Bunda Boss laisse une empreinte indélébile : celle d’un artiste qui a su donner sa voix à une jeunesse avide de justice et de culture, et dont le souvenir continuera de résonner comme un hymne d’engagement et de liberté.
Une figure de l’art engagé
Ray’s Kim s’était imposé comme une voix singulière, capable de mêler musique, engagement social et message de tolérance. « Il a incarné la force de l’art engagé et l’espérance d’une jeunesse », a déclaré Pahimi Padacké Albert, soulignant que son œuvre restera une graine semée dans le cœur des Tchadiens.
Personnalités politiques, culturelles et religieuses se sont succédé pour exprimer leur douleur. "À chacune de nos rencontres, ces sont les taquineries qui prennent le dessus, à la surprise des profanes qui nous entourent souvent", a déclaré Abdel-Nasser Garboa, porte-parole du parti MPS. Hoïnathy Claudia a résumé l’horreur de cette disparition en une phrase poignante : « Tirez… et il donna sa poitrine. »
Pour le ministère de la Culture, Ray’s Kim restera une « icône de la scène musicale tchadienne » dont la voix résonnera encore longtemps. De son côté, l'artiste Mawndoé Célestin a réagi en présentant ses condoléances à la famille de l'artiste. Certains proches ont exprimé leur chagrin avec émotion : L'évêque Abbé Madou a confié : « Ray’s Kim, mon géant garçon, m’a tourné le dos ! Cœur brisé et broyé. »
Le vice-président du parti Les Transformateurs Ndolembai Sadé Njesada s’adresse à lui comme à un frère : « Ce vide que tu viens de laisser ne peut être comblé… dors en paix mon petit frère ! » Le chanteur Moussa Aimé se souvient « des veillées en studio et des tournées » où l’amitié comptait plus que les moyens.
Un symbole pour la jeunesse
Au-delà de l’artiste, Ray’s Kim incarnait l’espoir d’une génération. Le leader politique Nasour Ibrahim Koursami invite à « trouver la force dans la mémoire de cette perte tragique pour poursuivre la quête d’un Tchad plus juste et plus libre ».
Une perte nationale
Du monde politique, où Ahmat Haroun Larry et Mahamat Zene Chérif ont salué la mémoire d’« un frère et camarade de lutte », à la scène artistique où Afrotronix rappelle son intégrité et sa loyauté, les hommages convergent pour dire combien le vide laissé par Ray’s Kim est immense.
Le Bunda Boss laisse une empreinte indélébile : celle d’un artiste qui a su donner sa voix à une jeunesse avide de justice et de culture, et dont le souvenir continuera de résonner comme un hymne d’engagement et de liberté.