Bondée de la couleur orange, la salle des réunions de l'hôtel de ville d'Abéché a servi de cadre de sensibilisation sur les violences basées sur le genre (VBG).
La conférencière, Zeneba Ndelassoum, par ailleurs vice-coordonnateur de la cellule de l'ONG, la Voix de la femme du Ouaddaï, a présenté son speech en présence des coordonnatrices de cette ONG du Ouaddaï, Dr Roumane Moukhtar, et celle de Ndjamena, Mme Dakouma Mahamat.
La violence basée sur le genre est une violence qui est dirigée contre une personne sur la base de son genre, ou de son sexe, a fait savoir Zeneba Ndelassoum. « Ça c'est pour les hommes, je ne peux pas le faire », c'est dans un ton élevé que Zeneba a parlé à ses sœurs puis, elle revient au calme en ce sens : « il faut que, nous les femmes, puissions changer nos mentalités ».
En revanche, elle réaffirme que le genre est une construction sociale, elle est culturelle et change d'un milieu à un autre. « Car, dans un passé récent, le métier de tailleur était réservé aux hommes, et maintenant nous voyons les femmes autour de nous », relève la conférencière.
Par conséquent, les différentes typologies des violences basées sur le genre, telles que la violence physique, psychologique, sexuelle et bien d'autres, ne sont pas perdus de vues. Pour elle, les actes sont là, donc il faut la dénonciation. Dr Sandrine exhorte les filles de continuer avec les études.
Enfin, Zeneba Ndelassoum demande à tout le monde de parler autour d'eux, entre elles-mêmes, pour trouver des solutions aux violences contre les femmes et filles, en accentuant la sensibilisation sur tout le niveau.
La conférencière, Zeneba Ndelassoum, par ailleurs vice-coordonnateur de la cellule de l'ONG, la Voix de la femme du Ouaddaï, a présenté son speech en présence des coordonnatrices de cette ONG du Ouaddaï, Dr Roumane Moukhtar, et celle de Ndjamena, Mme Dakouma Mahamat.
La violence basée sur le genre est une violence qui est dirigée contre une personne sur la base de son genre, ou de son sexe, a fait savoir Zeneba Ndelassoum. « Ça c'est pour les hommes, je ne peux pas le faire », c'est dans un ton élevé que Zeneba a parlé à ses sœurs puis, elle revient au calme en ce sens : « il faut que, nous les femmes, puissions changer nos mentalités ».
En revanche, elle réaffirme que le genre est une construction sociale, elle est culturelle et change d'un milieu à un autre. « Car, dans un passé récent, le métier de tailleur était réservé aux hommes, et maintenant nous voyons les femmes autour de nous », relève la conférencière.
Par conséquent, les différentes typologies des violences basées sur le genre, telles que la violence physique, psychologique, sexuelle et bien d'autres, ne sont pas perdus de vues. Pour elle, les actes sont là, donc il faut la dénonciation. Dr Sandrine exhorte les filles de continuer avec les études.
Enfin, Zeneba Ndelassoum demande à tout le monde de parler autour d'eux, entre elles-mêmes, pour trouver des solutions aux violences contre les femmes et filles, en accentuant la sensibilisation sur tout le niveau.