L’Université de Sarh vibre au rythme de sa semaine culturelle, couplée aux Journées portes ouvertes, un événement majeur qui se déroule du 19 au 22 mai 2025.
Placée sous le thème, « La culture universitaire au service de la cohésion sociale », cette initiative vise à renforcer le lien entre la communauté universitaire et la société, tout en mettant en lumière le rôle de l’université dans le développement local et national.
Le coup d’envoi de cette semaine festive a été donné ce 20 mai 2025 par le préfet du département du Barh-Koh, Oumar Ali Nanina, en présence d’un public nombreux composé d’enseignants-chercheurs, d’étudiants, de parents et de curieux venus découvrir les multiples facettes de l’Université de Sarh.
La vice-présidente de l’Université, Mme Goulé Koudji, a salué l’initiative et souligné l’importance de ces journées : « C’est une occasion précieuse pour faire connaître notre université dans toutes les dimensions de sa mission : formation, recherche et innovation. Cette semaine est une invitation à la découverte, à la célébration et au partage », a-t-elle déclaré.
Le président de l’Université, Pr Ngarkodje Ngarasta est revenu sur l’histoire et les ambitions de l’établissement fondé le 27 octobre 2010. Aujourd’hui, cette institution universitaire compte quatre facultés, treize départements et accueille environ 4 500 étudiants. Elle se donne pour mission de former une élite intellectuelle capable de contribuer activement au développement du Tchad.
Cependant, le président de l’Université de Sarh n’a pas manqué d’évoquer les nombreux défis auxquels l’institution est confrontée : « Nous souffrons d’un manque d’infrastructures adéquates. Notre amphithéâtre est vétuste, l’effectif des étudiants croît rapidement sans que nos capacités d’accueil ne suivent.
De plus, le déficit de personnel enseignant nous contraint à recourir aux vacataires et missionnaires, dont les indemnités restent souvent impayées », a-t-il expliqué. Face à cette situation, le préfet Oumar Ali Nanina a exprimé son engagement à porter les préoccupations de l’université à la haute hiérarchie de l’État. Il a exhorté les étudiants et enseignants à cultiver la paix et la cohésion sociale pour bâtir ensemble un avenir meilleur.
Point d’orgue de cette semaine culturelle : la remise de prix à trente étudiants méritants, récompensés par des téléphones portables de marque IPhone, symbolisant l’encouragement à l’excellence académique. Par ailleurs, une finale de football opposant les étudiants de sociologie à ceux de géographie, des prestations artistiques, conférences-débats et expositions enrichissent le programme de cet événement unique.
L’Université de Sarh confirme ainsi son rôle d’acteur central dans la promotion de la culture, de la connaissance et de la cohésion sociale au cœur du Moyen-Chari.
Placée sous le thème, « La culture universitaire au service de la cohésion sociale », cette initiative vise à renforcer le lien entre la communauté universitaire et la société, tout en mettant en lumière le rôle de l’université dans le développement local et national.
Le coup d’envoi de cette semaine festive a été donné ce 20 mai 2025 par le préfet du département du Barh-Koh, Oumar Ali Nanina, en présence d’un public nombreux composé d’enseignants-chercheurs, d’étudiants, de parents et de curieux venus découvrir les multiples facettes de l’Université de Sarh.
La vice-présidente de l’Université, Mme Goulé Koudji, a salué l’initiative et souligné l’importance de ces journées : « C’est une occasion précieuse pour faire connaître notre université dans toutes les dimensions de sa mission : formation, recherche et innovation. Cette semaine est une invitation à la découverte, à la célébration et au partage », a-t-elle déclaré.
Le président de l’Université, Pr Ngarkodje Ngarasta est revenu sur l’histoire et les ambitions de l’établissement fondé le 27 octobre 2010. Aujourd’hui, cette institution universitaire compte quatre facultés, treize départements et accueille environ 4 500 étudiants. Elle se donne pour mission de former une élite intellectuelle capable de contribuer activement au développement du Tchad.
Cependant, le président de l’Université de Sarh n’a pas manqué d’évoquer les nombreux défis auxquels l’institution est confrontée : « Nous souffrons d’un manque d’infrastructures adéquates. Notre amphithéâtre est vétuste, l’effectif des étudiants croît rapidement sans que nos capacités d’accueil ne suivent.
De plus, le déficit de personnel enseignant nous contraint à recourir aux vacataires et missionnaires, dont les indemnités restent souvent impayées », a-t-il expliqué. Face à cette situation, le préfet Oumar Ali Nanina a exprimé son engagement à porter les préoccupations de l’université à la haute hiérarchie de l’État. Il a exhorté les étudiants et enseignants à cultiver la paix et la cohésion sociale pour bâtir ensemble un avenir meilleur.
Point d’orgue de cette semaine culturelle : la remise de prix à trente étudiants méritants, récompensés par des téléphones portables de marque IPhone, symbolisant l’encouragement à l’excellence académique. Par ailleurs, une finale de football opposant les étudiants de sociologie à ceux de géographie, des prestations artistiques, conférences-débats et expositions enrichissent le programme de cet événement unique.
L’Université de Sarh confirme ainsi son rôle d’acteur central dans la promotion de la culture, de la connaissance et de la cohésion sociale au cœur du Moyen-Chari.