Si sa consommation reste souvent banalisée, ses effets sur la santé, la productivité et les relations sociales sont loin d’être négligeables.
Selon des spécialistes en addictologie, l’alcool agit directement sur le cerveau, réduisant les capacités de concentration, d’analyse et de prise de décision. Ces conséquences ont un impact direct sur la réalisation des objectifs personnels et professionnels.
« Les personnes dépendantes de l’alcool rencontrent souvent des difficultés à maintenir un emploi stable ou à accomplir des projets à long terme », explique la Sœur Roiné Aurélie, directrice du CEDIRAA (Centre Diocésain de la Recherche Action en Alcoologie).
Pour illustrer cette réalité, Djerakoula Serge, un jeune homme de N’Djamena, confie son expérience : « Je suis sous l’emprise de l’alcool. Chaque soir, je me sens obligé de boire avec mes amis, et à la fin du mois, je n’arrive jamais à réaliser quoi que ce soit avec mon salaire. Aujourd’hui, je regrette amèrement ces choix, car je vois que l’alcool me vole mon avenir. »
L’alcool ne se contente pas d’affaiblir la performance individuelle. Il détériore également les liens sociaux et familiaux, générant des conflits et des situations de violence. Les jeunes, particulièrement vulnérables, voient leur potentiel académique et professionnel compromis. Les experts alertent sur le fait que l’alcool est souvent à l’origine d’échecs scolaires, de chômage et de marginalisation sociale.
Pour lutter contre ce fléau, des initiatives comme celles du CEDIRAA multiplient les campagnes de sensibilisation et offrent des programmes de suivi aux personnes en difficulté. « Nous faisons de notre mieux pour stopper la consommation, en accompagnant chaque personne vers un mode de vie plus sain et productif », précise la Sœur Aurélie.
L’alcool ne doit pas être perçu comme un simple loisir, mais comme un véritable ennemi de la réalisation. La maîtrise de sa consommation et la sensibilisation des populations restent des leviers essentiels pour permettre aux individus d’exploiter pleinement leur potentiel et de contribuer au développement de leur communauté.
Selon des spécialistes en addictologie, l’alcool agit directement sur le cerveau, réduisant les capacités de concentration, d’analyse et de prise de décision. Ces conséquences ont un impact direct sur la réalisation des objectifs personnels et professionnels.
« Les personnes dépendantes de l’alcool rencontrent souvent des difficultés à maintenir un emploi stable ou à accomplir des projets à long terme », explique la Sœur Roiné Aurélie, directrice du CEDIRAA (Centre Diocésain de la Recherche Action en Alcoologie).
Pour illustrer cette réalité, Djerakoula Serge, un jeune homme de N’Djamena, confie son expérience : « Je suis sous l’emprise de l’alcool. Chaque soir, je me sens obligé de boire avec mes amis, et à la fin du mois, je n’arrive jamais à réaliser quoi que ce soit avec mon salaire. Aujourd’hui, je regrette amèrement ces choix, car je vois que l’alcool me vole mon avenir. »
L’alcool ne se contente pas d’affaiblir la performance individuelle. Il détériore également les liens sociaux et familiaux, générant des conflits et des situations de violence. Les jeunes, particulièrement vulnérables, voient leur potentiel académique et professionnel compromis. Les experts alertent sur le fait que l’alcool est souvent à l’origine d’échecs scolaires, de chômage et de marginalisation sociale.
Pour lutter contre ce fléau, des initiatives comme celles du CEDIRAA multiplient les campagnes de sensibilisation et offrent des programmes de suivi aux personnes en difficulté. « Nous faisons de notre mieux pour stopper la consommation, en accompagnant chaque personne vers un mode de vie plus sain et productif », précise la Sœur Aurélie.
L’alcool ne doit pas être perçu comme un simple loisir, mais comme un véritable ennemi de la réalisation. La maîtrise de sa consommation et la sensibilisation des populations restent des leviers essentiels pour permettre aux individus d’exploiter pleinement leur potentiel et de contribuer au développement de leur communauté.