
Dans un contexte où la vie devient de plus en plus chère et où les inégalités s’accentuent, beaucoup de Tchadiens se demandent si l’argent est réellement la clé du bonheur.
Entre nécessité matérielle et quête de paix intérieure, les avis divergent. Dans un pays où le coût de la vie augmente chaque jour, difficile d’imaginer le bonheur sans moyens financiers.
« Sans argent, tu ne peux ni te soigner, ni manger correctement, ni envoyer tes enfants à l’école », déplore Mariam, mère de trois enfants à N’Djamena. Pour elle, comme pour beaucoup d’autres, l’argent n’achète peut-être pas la joie, mais il garantit une vie digne. Les jeunes, confrontés au chômage et à la précarité, partagent souvent ce constat amer : sans ressources, les rêves restent enfermés dans les tiroirs.
Le bonheur, une richesse du cœur avant tout
Mais pour d’autres, le bonheur ne se résume pas au compte bancaire. Il réside dans la santé, la paix, la famille et les relations humaines.
« J’ai vu des gens riches malheureux et des pauvres souriants. L’argent aide, mais il ne remplace pas la paix du cœur », confie un jeune homme du quartier Chadartalata Cette vision rappelle une valeur profondément ancrée dans la culture tchadienne : la solidarité et le partage priment souvent sur la richesse individuelle.
La société tchadienne se transforme. Les réseaux sociaux exposent de nouveaux modèles de réussite, souvent basés sur le luxe et l’apparence. Certains jeunes associent désormais le bonheur à la réussite financière, au détriment parfois des valeurs communautaires.
Cependant, des voix s’élèvent pour rappeler que la vraie richesse réside dans le savoir, la paix intérieure et la reconnaissance des autres. L’argent, indispensable à la survie, ne suffit pas à garantir le bonheur. Le véritable défi consiste à trouver un équilibre entre confort matériel et bien-être moral. « L’argent peut acheter un lit, mais pas le sommeil », dit un proverbe africain.
Au Tchad, où la solidarité demeure une force, le bonheur se construit peut-être moins dans les poches que dans les cœurs.
Entre nécessité matérielle et quête de paix intérieure, les avis divergent. Dans un pays où le coût de la vie augmente chaque jour, difficile d’imaginer le bonheur sans moyens financiers.
« Sans argent, tu ne peux ni te soigner, ni manger correctement, ni envoyer tes enfants à l’école », déplore Mariam, mère de trois enfants à N’Djamena. Pour elle, comme pour beaucoup d’autres, l’argent n’achète peut-être pas la joie, mais il garantit une vie digne. Les jeunes, confrontés au chômage et à la précarité, partagent souvent ce constat amer : sans ressources, les rêves restent enfermés dans les tiroirs.
Le bonheur, une richesse du cœur avant tout
Mais pour d’autres, le bonheur ne se résume pas au compte bancaire. Il réside dans la santé, la paix, la famille et les relations humaines.
« J’ai vu des gens riches malheureux et des pauvres souriants. L’argent aide, mais il ne remplace pas la paix du cœur », confie un jeune homme du quartier Chadartalata Cette vision rappelle une valeur profondément ancrée dans la culture tchadienne : la solidarité et le partage priment souvent sur la richesse individuelle.
La société tchadienne se transforme. Les réseaux sociaux exposent de nouveaux modèles de réussite, souvent basés sur le luxe et l’apparence. Certains jeunes associent désormais le bonheur à la réussite financière, au détriment parfois des valeurs communautaires.
Cependant, des voix s’élèvent pour rappeler que la vraie richesse réside dans le savoir, la paix intérieure et la reconnaissance des autres. L’argent, indispensable à la survie, ne suffit pas à garantir le bonheur. Le véritable défi consiste à trouver un équilibre entre confort matériel et bien-être moral. « L’argent peut acheter un lit, mais pas le sommeil », dit un proverbe africain.
Au Tchad, où la solidarité demeure une force, le bonheur se construit peut-être moins dans les poches que dans les cœurs.