Dans le cadre du renforcement des capacités des acteurs impliqués dans la protection des droits des femmes, la Maison de la Femme a organisé ce lundi 16 juin 2025, une journée de formation sur la lutte contre l’exploitation, les abus et le harcèlement sexuel (PSEAH).
Dans son discours, Mangtoingué Ronel, directeur de la prise en charge psychosociale, a mis en lumière l’importance de cette journée axée sur la mise en place de canaux de signalement efficaces, ainsi que sur la prise de contact avec les organisations spécialisées dans le soutien aux victimes.
Il a rappelé que les violences basées sur le genre constituent un frein majeur au développement, soulignant qu’environ 33 % des femmes sont victimes d’au moins une forme de violence, souvent passée sous silence. Il a également indiqué que les cas d’exploitation, d’abus et de harcèlement sexuel demeurent un enjeu permanent et préoccupant pour les plus hautes autorités.
Cette formation vise à apporter des outils concrets pour mieux prévenir, identifier et répondre aux cas de PSEAH. Deux modules complémentaires ont été développés : le premier, consacré à l’introduction des concepts liés au PSEAH et aux risques pour les organisations humanitaires ; le second, dédié aux démarches à suivre après le signalement d’un cas, dans le but de garantir un référencement sûr et rapide.
Mme Sofia Vigetti, chargée de protection chez ACTED, a souligné que la prévention des abus et du harcèlement sexuel constitue un engagement ferme de son organisation. Elle a insisté sur le devoir de protéger les droits, la sécurité et la dignité des personnes, précisant que la tolérance zéro reste un pilier de leur politique en matière de protection contre l’exploitation sexuelle.
Cette initiative de la Maison de la Femme s’inscrit dans un cadre plus large de sensibilisation et de renforcement des mécanismes de lutte contre les violences basées sur le genre au Tchad.
Dans son discours, Mangtoingué Ronel, directeur de la prise en charge psychosociale, a mis en lumière l’importance de cette journée axée sur la mise en place de canaux de signalement efficaces, ainsi que sur la prise de contact avec les organisations spécialisées dans le soutien aux victimes.
Il a rappelé que les violences basées sur le genre constituent un frein majeur au développement, soulignant qu’environ 33 % des femmes sont victimes d’au moins une forme de violence, souvent passée sous silence. Il a également indiqué que les cas d’exploitation, d’abus et de harcèlement sexuel demeurent un enjeu permanent et préoccupant pour les plus hautes autorités.
Cette formation vise à apporter des outils concrets pour mieux prévenir, identifier et répondre aux cas de PSEAH. Deux modules complémentaires ont été développés : le premier, consacré à l’introduction des concepts liés au PSEAH et aux risques pour les organisations humanitaires ; le second, dédié aux démarches à suivre après le signalement d’un cas, dans le but de garantir un référencement sûr et rapide.
Mme Sofia Vigetti, chargée de protection chez ACTED, a souligné que la prévention des abus et du harcèlement sexuel constitue un engagement ferme de son organisation. Elle a insisté sur le devoir de protéger les droits, la sécurité et la dignité des personnes, précisant que la tolérance zéro reste un pilier de leur politique en matière de protection contre l’exploitation sexuelle.
Cette initiative de la Maison de la Femme s’inscrit dans un cadre plus large de sensibilisation et de renforcement des mécanismes de lutte contre les violences basées sur le genre au Tchad.