"Parrains du crime", titre à sa Une l'hebdomadaire Abba Garde. Pour le journal, pendant que Haroun Kabadi entend acheter un photocopieur à 18.500.000 Francs CFA, la gouverneure du Mandoul et l'illustre avocat-enseignant chercheur Noubaranga Kladoumbé fixent la valeur d'un être humain à 1.000.000 et 1.500.000 Francs CFA.
Le prix du sang instauré en pays Sara, insiste Abba Garde. Des communautés arabes et un représentant des autorités traditionnelles locales ont signé, le 15 octobre 2021, un accord relatif à la répartition civile en cas de meurtre. Un accord entériné par la gouverneure du Mandoul, Madame Diamra Betolngar. Un acte qui a choqué plus d'un. Diamra Betolngar lève l'équivoque, informe Le Potentiel. La gouverneure du Mandoul, lors d'un point de presse le 19 octobre dernier, a levé l'équivoque autour de la controverse faisant suite à la signature d'un accord de réparation civile des dommages entre les chefs traditionnels et coutumiers de sa province.
Le recreusage de la tranchée autour de N'Djamena : le mur de Berlin des Deby, analyse N'Djamena Hebdo. Depuis près de six mois, les travaux de prolongement et de curage de la tranchée du feu président Déby sont effectués à l'entrée nord-est de N'Djamena. Ils coupent certains quartiers périphériques du centre ville, séparant ses populations comme le mur de Berlin pendant la guerre froide. Dans la même lancée, Dr. Nasra exige l'arrêt immédiat des travaux.
Par un point de presse organisé le 15 octobre 2021 dans les locaux de la société Média Visionnaire (SOMEVI), le président national du parti "Un nouveau jour", Dr. Nasra Djimasngar, demande l'arrêt immédiat des travaux de creusage de la tranchée et entend intenter une action en justice pour une indemnisation de la part des autorités de la transition, rapporte Le Visionnaire. La junte militaire reédite la tranchée du " père de la démocratie" écrit le citoyen. Les bulldozers renouvellent la tranchée fait par Déby depuis plus d'une semaine. Gassi, quartier periurbain, est touché par cette tranchée.
Le dialogue national inclusif en vue
"Si réellement ce fameux dialogue se tient comme la Conférence nationale souveraine de 1993, il y aura un bon résultat", dixit Ndjélar Mariam Koumadji dans un entretien accordé à l'hebdomadaire Le Temps. La présidente de l'Union nationale pour l'alternance au Tchad évoque les différents sujets d'actualité et donne son avis sur les préparatifs du dialogue national inclusif. De l'autre côté, s'exprimant sur le même sujet brûlant, Maître Théophile Bongoro déclare dans un entretien qu'il a accordé au journal le citoyen : "En minorité diluée dans la majorité au CNT, nous n'allons pas nous laisser faire. Nous allons discuter, les yeux dans les yeux". Dans le même sens, Succès Nasra, dans un entretien accordé à l'hebdomadaire N'Djamena Hebdo, tranche "Il y a deux Tchad. Il y a déjà aujourd'hui deux Tchad et la seule façon de les réunir, c'est de ramener la justice et l'égalité en rompant avec cet apartheid entretenu depuis des décennies. Ils savent qu'il y a deux Tchad sinon ils n'allaient pas créer un ministère de la réconciliation. On ne réconcilie que ce qui est divisé non ?", s'est-il interrogé.
La désignation des membres au CNT : les professions judiciaires libérales grondent. Avocats, notaires et huissiers délient leurs langues pour dénoncer la récente désignation des membres duCNT, rapport Abba Garde. L'Ordre des avocats et la Chambre nationale des huissiers de justice du Tchad disent être dupés par le comité ad hoc en charge de la désignation des membres du CNT. Les professions judiciaires libérales écartées, complète Le Visionnaire. "Les professionnels du corps judiciaire libéral ont donné leur accord pour faire partie des membres du CNT, uniquement dans le but de formuler des propositions pertinentes et mettre leurs connaissances juridiques au service de la nation", a affirmé Me. Djomia Germain, président de la Chambre nationale des notaires.
Recrutement à la future faculté de médecine de l'Université Roi Fayçal : Massar Hissène s'est fait broyer, annonce La Voix. À la suite d'un bras de fer avec la ministre de l'Enseignement supérieur, Hissène Massar Hissène a été limogé de son poste de PCA de l'université Roi Fayçal et relevé le même jour de ses fonctions de conseiller à l'enseignement supérieur à la Présidence de la République.
Le journal de poursuivre que cela fût un mardi noir pour le supposé indéboulonnable Hissène Massar Hissène. Par décret n° 571 du 12 octobre 2021, le président du Conseil militaire de transition l'a remplacé du poste de conseiller à l'enseignement supérieur du Président de la République. Pour Le Visionnaire, Hissène Massar Hissène a été limogé à la suite de l'annulation par le ministère de tutelle d'un concours d'entrée en première année de médecine à l'Université Roi Fayçal. Cette nouvelle est tombée comme un couperet dans la soirée du 12 octobre 2021. La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Lydie Béassemda, a été nommée par décret n° 567/PCMT/2021 en tant que PCA de l'université Roi Fayçal, en lieu et place de Massar Hissène, initiateur du concours, conclut notre confrère.
Le prix du sang instauré en pays Sara, insiste Abba Garde. Des communautés arabes et un représentant des autorités traditionnelles locales ont signé, le 15 octobre 2021, un accord relatif à la répartition civile en cas de meurtre. Un accord entériné par la gouverneure du Mandoul, Madame Diamra Betolngar. Un acte qui a choqué plus d'un. Diamra Betolngar lève l'équivoque, informe Le Potentiel. La gouverneure du Mandoul, lors d'un point de presse le 19 octobre dernier, a levé l'équivoque autour de la controverse faisant suite à la signature d'un accord de réparation civile des dommages entre les chefs traditionnels et coutumiers de sa province.
Le recreusage de la tranchée autour de N'Djamena : le mur de Berlin des Deby, analyse N'Djamena Hebdo. Depuis près de six mois, les travaux de prolongement et de curage de la tranchée du feu président Déby sont effectués à l'entrée nord-est de N'Djamena. Ils coupent certains quartiers périphériques du centre ville, séparant ses populations comme le mur de Berlin pendant la guerre froide. Dans la même lancée, Dr. Nasra exige l'arrêt immédiat des travaux.
Par un point de presse organisé le 15 octobre 2021 dans les locaux de la société Média Visionnaire (SOMEVI), le président national du parti "Un nouveau jour", Dr. Nasra Djimasngar, demande l'arrêt immédiat des travaux de creusage de la tranchée et entend intenter une action en justice pour une indemnisation de la part des autorités de la transition, rapporte Le Visionnaire. La junte militaire reédite la tranchée du " père de la démocratie" écrit le citoyen. Les bulldozers renouvellent la tranchée fait par Déby depuis plus d'une semaine. Gassi, quartier periurbain, est touché par cette tranchée.
Le dialogue national inclusif en vue
"Si réellement ce fameux dialogue se tient comme la Conférence nationale souveraine de 1993, il y aura un bon résultat", dixit Ndjélar Mariam Koumadji dans un entretien accordé à l'hebdomadaire Le Temps. La présidente de l'Union nationale pour l'alternance au Tchad évoque les différents sujets d'actualité et donne son avis sur les préparatifs du dialogue national inclusif. De l'autre côté, s'exprimant sur le même sujet brûlant, Maître Théophile Bongoro déclare dans un entretien qu'il a accordé au journal le citoyen : "En minorité diluée dans la majorité au CNT, nous n'allons pas nous laisser faire. Nous allons discuter, les yeux dans les yeux". Dans le même sens, Succès Nasra, dans un entretien accordé à l'hebdomadaire N'Djamena Hebdo, tranche "Il y a deux Tchad. Il y a déjà aujourd'hui deux Tchad et la seule façon de les réunir, c'est de ramener la justice et l'égalité en rompant avec cet apartheid entretenu depuis des décennies. Ils savent qu'il y a deux Tchad sinon ils n'allaient pas créer un ministère de la réconciliation. On ne réconcilie que ce qui est divisé non ?", s'est-il interrogé.
La désignation des membres au CNT : les professions judiciaires libérales grondent. Avocats, notaires et huissiers délient leurs langues pour dénoncer la récente désignation des membres duCNT, rapport Abba Garde. L'Ordre des avocats et la Chambre nationale des huissiers de justice du Tchad disent être dupés par le comité ad hoc en charge de la désignation des membres du CNT. Les professions judiciaires libérales écartées, complète Le Visionnaire. "Les professionnels du corps judiciaire libéral ont donné leur accord pour faire partie des membres du CNT, uniquement dans le but de formuler des propositions pertinentes et mettre leurs connaissances juridiques au service de la nation", a affirmé Me. Djomia Germain, président de la Chambre nationale des notaires.
Recrutement à la future faculté de médecine de l'Université Roi Fayçal : Massar Hissène s'est fait broyer, annonce La Voix. À la suite d'un bras de fer avec la ministre de l'Enseignement supérieur, Hissène Massar Hissène a été limogé de son poste de PCA de l'université Roi Fayçal et relevé le même jour de ses fonctions de conseiller à l'enseignement supérieur à la Présidence de la République.
Le journal de poursuivre que cela fût un mardi noir pour le supposé indéboulonnable Hissène Massar Hissène. Par décret n° 571 du 12 octobre 2021, le président du Conseil militaire de transition l'a remplacé du poste de conseiller à l'enseignement supérieur du Président de la République. Pour Le Visionnaire, Hissène Massar Hissène a été limogé à la suite de l'annulation par le ministère de tutelle d'un concours d'entrée en première année de médecine à l'Université Roi Fayçal. Cette nouvelle est tombée comme un couperet dans la soirée du 12 octobre 2021. La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Lydie Béassemda, a été nommée par décret n° 567/PCMT/2021 en tant que PCA de l'université Roi Fayçal, en lieu et place de Massar Hissène, initiateur du concours, conclut notre confrère.