Plusieurs raisons ont été avancées pour justifier cette orientation. Sur le plan juridique, le Dialogue national inclusif a recommandé de s'appuyer sur les réflexions de la Constitution de 1976 et de les améliorer pour aboutir à une nouvelle Constitution adoptée par voie référendaire. Sur le plan organisationnel, il est essentiel que les citoyens puissent répondre clairement par oui ou par non lors d'un référendum, afin que la volonté populaire exprimée ne puisse donner lieu à aucune interprétation. Les experts s'accordent sur l'importance de prendre une décision claire et précise, permettant aux électeurs d'exprimer leur volonté de manière éclairée.
Si le "oui" l'emporte lors du référendum, le projet de Constitution actuel, qui prévoit un État unitaire, sera adopté. En revanche, si le "non" l'emporte, une nouvelle Constitution consacrant la forme fédérale de l'État sera proposée après une étude approfondie prenant en compte tous les enjeux, considérations sociales et économiques. Toutefois, cette situation pourrait entraîner une prolongation du calendrier de la transition et la nécessité d'organiser un deuxième référendum.
Haliki Choua Mahamat souligne les implications d'une telle situation, mettant en avant les aspects logistiques et financiers. Organiser un référendum nécessite des ressources considérables, tant sur le plan matériel que financier. Dans le contexte actuel où les ressources sont limitées, organiser deux référendums risquerait de mettre une pression supplémentaire sur le pays. La transition doit être menée à bien dans les délais impartis afin de pouvoir organiser les élections à venir.
Un équilibre entre les aspirations du peuple et les contraintes auxquelles le pays est confronté est essentiel. Le ministre secrétaire général du gouvernement appelle à une prise de décision réfléchie, en prenant en compte les intérêts de la nation dans son ensemble. La finalisation de la transition et la mise en place d'un gouvernement démocratique restent des priorités, et il est crucial de gérer les ressources de manière efficiente pour atteindre ces objectifs.
La question de la forme de l'État et du référendum reste un sujet clé de débat, et les décisions prises auront des répercussions significatives sur le processus de transition en cours, selon le ministre.
Si le "oui" l'emporte lors du référendum, le projet de Constitution actuel, qui prévoit un État unitaire, sera adopté. En revanche, si le "non" l'emporte, une nouvelle Constitution consacrant la forme fédérale de l'État sera proposée après une étude approfondie prenant en compte tous les enjeux, considérations sociales et économiques. Toutefois, cette situation pourrait entraîner une prolongation du calendrier de la transition et la nécessité d'organiser un deuxième référendum.
Haliki Choua Mahamat souligne les implications d'une telle situation, mettant en avant les aspects logistiques et financiers. Organiser un référendum nécessite des ressources considérables, tant sur le plan matériel que financier. Dans le contexte actuel où les ressources sont limitées, organiser deux référendums risquerait de mettre une pression supplémentaire sur le pays. La transition doit être menée à bien dans les délais impartis afin de pouvoir organiser les élections à venir.
Un équilibre entre les aspirations du peuple et les contraintes auxquelles le pays est confronté est essentiel. Le ministre secrétaire général du gouvernement appelle à une prise de décision réfléchie, en prenant en compte les intérêts de la nation dans son ensemble. La finalisation de la transition et la mise en place d'un gouvernement démocratique restent des priorités, et il est crucial de gérer les ressources de manière efficiente pour atteindre ces objectifs.
La question de la forme de l'État et du référendum reste un sujet clé de débat, et les décisions prises auront des répercussions significatives sur le processus de transition en cours, selon le ministre.