Face aux opinions religieuses et culturelles, l'on peut compter sur les doigts d’une main, les charcuteries, dans la capitale tchadienne.
La viande de porc est majoritairement visible dans certains quartiers de la capitale, à savoir Moursal, Chagoua, Walia, Atrone, Boutalgar, Habbena, pour ne citer que ceux-là.
Contrairement à ceux qui pensent que la viande de porc n'est pas bonne pour la santé, Michel, ancien cuisinier de l'hôtel La Tchadienne, estime que « la viande de porc contient du fer, du zinc et des vitamines. C'est bien pour la protection contre les infections ».
Tout de même, la viande de porc, qu'elle soit cuite au four ou à la braise, est très appréciée dans les débits de boissons, et à l'occasion des fêtes. Bien que la religion musulmane reste stricte sur la consommation de cochon.
Cependant, la viande de porc reste la plus consommée au monde avec 114 millions de tonnes annuellement, dont 800 000 tonnes en Afrique Subsaharienne, soit 1% sur la production mondiale, selon une étude réalisée par FAO.
C'est ainsi que, Bara Jotham, enseignant à l'université évangélique polytechnique, décrit que « l'élevage porcin est un terrain vierge pour l'entrepreneuriat des jeunes, du moment où la consommation de viande de porc n'est pas taboue dans certaines localités du pays et est trop consommée dans certains pays. »
Pour l'heure, l'élevage porcin au Tchad demeure encore une petite unité familiale dont la vente n'est pas trop autorisée. Toutefois, par rapport aux animaux, l'alimentation de porc est peu coûteuse et leur croissance est trop rapide. Il suffit d'avoir un espace bien aménagé pour les élever, souligne Roger Asdjim, détenteur d'une porcherie à Toukra dans le 9ème arrondissement de N’Djamena.
Cet avis est partagé par Narcisse Djimor, un jeune entrepreneur dans l'élevage de porcs : « j’ai commencé en 2017, c'est une activité trop rentable, surtout pendant les weekends, nous pouvons liquider 5 à 6 cochons par jour », témoigne-t-il.
De toute façon, ce n'est pas tout le monde qui consomme la viande de porc.
La viande de porc est majoritairement visible dans certains quartiers de la capitale, à savoir Moursal, Chagoua, Walia, Atrone, Boutalgar, Habbena, pour ne citer que ceux-là.
Contrairement à ceux qui pensent que la viande de porc n'est pas bonne pour la santé, Michel, ancien cuisinier de l'hôtel La Tchadienne, estime que « la viande de porc contient du fer, du zinc et des vitamines. C'est bien pour la protection contre les infections ».
Tout de même, la viande de porc, qu'elle soit cuite au four ou à la braise, est très appréciée dans les débits de boissons, et à l'occasion des fêtes. Bien que la religion musulmane reste stricte sur la consommation de cochon.
Cependant, la viande de porc reste la plus consommée au monde avec 114 millions de tonnes annuellement, dont 800 000 tonnes en Afrique Subsaharienne, soit 1% sur la production mondiale, selon une étude réalisée par FAO.
C'est ainsi que, Bara Jotham, enseignant à l'université évangélique polytechnique, décrit que « l'élevage porcin est un terrain vierge pour l'entrepreneuriat des jeunes, du moment où la consommation de viande de porc n'est pas taboue dans certaines localités du pays et est trop consommée dans certains pays. »
Pour l'heure, l'élevage porcin au Tchad demeure encore une petite unité familiale dont la vente n'est pas trop autorisée. Toutefois, par rapport aux animaux, l'alimentation de porc est peu coûteuse et leur croissance est trop rapide. Il suffit d'avoir un espace bien aménagé pour les élever, souligne Roger Asdjim, détenteur d'une porcherie à Toukra dans le 9ème arrondissement de N’Djamena.
Cet avis est partagé par Narcisse Djimor, un jeune entrepreneur dans l'élevage de porcs : « j’ai commencé en 2017, c'est une activité trop rentable, surtout pendant les weekends, nous pouvons liquider 5 à 6 cochons par jour », témoigne-t-il.
De toute façon, ce n'est pas tout le monde qui consomme la viande de porc.