Le Collectif du mouvement des associations des jeunes du Tchad (CAMOJET) célèbre aujourd’hui au Centre Al-mouna ses deux décennies d'existence.
« Vingt ans de passion, de lutte, d'espoir, de rêves, d'engagement au service de la jeunesse », ça se fête. Et cette célébration a constitué une occasion de se pencher sur « les apports du développement socio-économique et à la promotion des droits humains au Tchad ».
D'emblée, le coordonnateur du mouvement, Ahmat Haroun Larry s'enorgueillit du travail accompli. « Grâce à notre engagement collectif, des pas importants ont été franchis », informe le coordonnateur. Ce dernier énumère entre autres, le plaidoyer pour la ratification de la charte africaine de la jeunesse, l'engagement pour la mise sur pied du conseil consultatif de la jeunesse, la promotion de l'employabilité et de l'autonomisation des jeunes.
Quant à l'emploi des jeunes précisément, Ibangolo Maïna Abel, ancien coordonnateur du mouvement est franc. « C'est le CAMOJET qui m'a propulsé (...). Beaucoup de personnes sont devenues des cadres de ce pays grâce au CAMOJET », reconnaît-il. Le mouvement réclame pareillement la paternité du mouvement Wakit Tamma.
« C'est le CAMOJET qui a créé Wakit Tamma en 2005 quand le maréchal Idriss Deby envisageait de modifier la constitution », informe Abel Maïna. En plus du bilan, la fête a été une autre opportunité de rendre un hommage aux anciens coordonnateurs du mouvement. Il s'agit principalement d'Adoum Abakar Malloumi « tué à fleur d'âge », mais à qui justice n'a pas malheureusement pas été rendue.
« Vingt ans de passion, de lutte, d'espoir, de rêves, d'engagement au service de la jeunesse », ça se fête. Et cette célébration a constitué une occasion de se pencher sur « les apports du développement socio-économique et à la promotion des droits humains au Tchad ».
D'emblée, le coordonnateur du mouvement, Ahmat Haroun Larry s'enorgueillit du travail accompli. « Grâce à notre engagement collectif, des pas importants ont été franchis », informe le coordonnateur. Ce dernier énumère entre autres, le plaidoyer pour la ratification de la charte africaine de la jeunesse, l'engagement pour la mise sur pied du conseil consultatif de la jeunesse, la promotion de l'employabilité et de l'autonomisation des jeunes.
Quant à l'emploi des jeunes précisément, Ibangolo Maïna Abel, ancien coordonnateur du mouvement est franc. « C'est le CAMOJET qui m'a propulsé (...). Beaucoup de personnes sont devenues des cadres de ce pays grâce au CAMOJET », reconnaît-il. Le mouvement réclame pareillement la paternité du mouvement Wakit Tamma.
« C'est le CAMOJET qui a créé Wakit Tamma en 2005 quand le maréchal Idriss Deby envisageait de modifier la constitution », informe Abel Maïna. En plus du bilan, la fête a été une autre opportunité de rendre un hommage aux anciens coordonnateurs du mouvement. Il s'agit principalement d'Adoum Abakar Malloumi « tué à fleur d'âge », mais à qui justice n'a pas malheureusement pas été rendue.