Dans le cadre du programme DEESSE au Tchad (Promotion des Droits, de l'Épanouissement et de la Santé Sexuelle des Femmes, le lancement National des Projets "Autonomisation Sociale des Femmes Tchadiennes pour l'Accès aux Services de Santé" (PASFASS 2) et "Protection-Genre-Santé" (PROGESAN 2),) a eu lieu ce mercredi 17 septembre, dans un hôtel de la place.
Dans son discours d'ouverture, le directeur pays de CARE, Osséni Amadou, a déclaré que la phase 2 du projet PASFASS s'appuiera sur les acquis obtenus en renforçant : l'accès des femmes et des adolescentes aux services de santé sexuelle et reproductive de qualité ; la promotion de l'égalité de genre et la participation des femmes à la prise de décision ; le soutien aux initiatives locales durables, avec une emphase particulière sur les Associations Villageoises d'Épargne et de Crédit. Ces associations sont de véritables espaces de solidarité et de transformation sociale.
Elles permettent aux femmes d'épargner, d'accéder à des microcrédits pour développer des activités génératrices de revenus et de devenir, par elles-mêmes, actrices de leur avenir, investir dans la santé, la dignité et les droits des femmes, c'est indéniablement investir dans l'avenir du Tchad.
Il a souligné que ce programme est le fruit d'une coopération fructueuse entre le gouvernement du Tchad et le gouvernement de la France, à travers l'Agence Française de Développement (AFD).
Engagement de CARE
Le directeur a affirmé que CARE met les femmes et les filles au cœur de sa mission depuis près de cinquante ans au Tchad. Depuis 1974, il intervient dans 11 provinces, de l'Est au Sud en passant par la région du Lac, pour lutter contre les inégalités sociales et réduire la pauvreté. « Nos interventions multisectorielles bénéficient aussi bien aux communautés hôtes qu'aux réfugiés et déplacés internes.
Cela démontre qu'un changement durable est possible lorsque nous unissons nos forces. Des milliers de femmes et de filles ont pu bénéficier de soins de qualité, accéder à l'information et développer leur confiance en elles pour contribuer activement au bien-être de leurs communautés. Ces résultats, bien que significatifs, ne sont qu'un premier pas.
Il reste beaucoup à faire pour que chaque femme et chaque fille, où qu'elle se trouve au Tchad, puisse vivre sans violence ni discrimination ». Il a exprimé sa gratitude à l'AFD pour cette confiance renouvelée et s'engage à bien mener ce programme crucial pour les communautés. Pour la directrice adjointe de l'Agence Française de Développement (AFD), Sophie Chappellet, ce programme revêt une importance particulière pour l'AFD.
Il ne s'agit pas seulement d'un nouvel engagement, mais bien de la continuité et de l'amplification de dynamiques positives initiées avec les projets PASFASS (Projet d'Autonomisation Sociale des Femmes Tchadiennes par l'Accès aux Services de Santé). La directrice adjointe a poursuivi que le Projet Genre et Santé, mis en œuvre entre 2019 et 2024 dans les provinces du Mandoul et Logone Oriental (PASFASS) et du Guéra et Wadi Fira (PROGESAN), a produit des résultats prometteurs et a permis d'enclencher de véritables dynamiques de changement de normes et de comportements au sein des communautés.
Elle a déclaré, entre autres, que le projet intervient dans quatre provinces : le regroupement des femmes au sein de 264 Associations Villageoises d'Épargne et de Crédit a contribué à renforcer leur autonomie sociale et économique, par l'investissement, l'entrepreneuriat et l'entraide. Dans le Guéra et le Wadi-Fira, l'approche Girl Shine a permis à plus de 450 jeunes filles de bénéficier d'un accompagnement visant à renforcer leur confiance en elles, à améliorer leur connaissance de leurs droits et à les protéger.
Dans son discours de lancement, Mme la secrétaire générale du ministère de la Femme et de la Petite Enfance, Zara Ratou, a indiqué que le Tchad fait face à des défis importants en matière de promotion des droits et de l'épanouissement des femmes et des filles, notamment : les inégalités persistantes qui limitent l'accès des femmes aux services de santé, à l'éducation et aux opportunités économiques. Le taux élevé des cas de violences basées sur le genre demeure une préoccupation non négligeable.
La secrétaire a souligné l'importance de ces projets, qui s'inscrivent pleinement dans la vision stratégique du Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno, président de la République, chef de l'État, qui place la santé, le bien-être et l'égalité des chances au cœur de son programme politique. Ils contribuent à la mise en œuvre des priorités définies dans la Politique Nationale de Santé et le Plan National de Développement Sanitaire, en mettant l'accent sur la réduction des inégalités, l'amélioration de l'accès aux services de santé de qualité et la protection des droits des femmes et des filles dans toutes les provinces du pays.
« Grâce à ce programme, nous pourrons renforcer les solutions communautaires, améliorer la qualité des services de santé, lutter contre les inégalités et créer un environnement sûr et favorable pour toutes les femmes et filles tchadiennes. Ces actions contribueront à l'essor économique, social et sanitaire du pays, en plaçant les femmes au centre du développement du Tchad », a-t-elle conclu.
Dans son discours d'ouverture, le directeur pays de CARE, Osséni Amadou, a déclaré que la phase 2 du projet PASFASS s'appuiera sur les acquis obtenus en renforçant : l'accès des femmes et des adolescentes aux services de santé sexuelle et reproductive de qualité ; la promotion de l'égalité de genre et la participation des femmes à la prise de décision ; le soutien aux initiatives locales durables, avec une emphase particulière sur les Associations Villageoises d'Épargne et de Crédit. Ces associations sont de véritables espaces de solidarité et de transformation sociale.
Elles permettent aux femmes d'épargner, d'accéder à des microcrédits pour développer des activités génératrices de revenus et de devenir, par elles-mêmes, actrices de leur avenir, investir dans la santé, la dignité et les droits des femmes, c'est indéniablement investir dans l'avenir du Tchad.
Il a souligné que ce programme est le fruit d'une coopération fructueuse entre le gouvernement du Tchad et le gouvernement de la France, à travers l'Agence Française de Développement (AFD).
Engagement de CARE
Le directeur a affirmé que CARE met les femmes et les filles au cœur de sa mission depuis près de cinquante ans au Tchad. Depuis 1974, il intervient dans 11 provinces, de l'Est au Sud en passant par la région du Lac, pour lutter contre les inégalités sociales et réduire la pauvreté. « Nos interventions multisectorielles bénéficient aussi bien aux communautés hôtes qu'aux réfugiés et déplacés internes.
Cela démontre qu'un changement durable est possible lorsque nous unissons nos forces. Des milliers de femmes et de filles ont pu bénéficier de soins de qualité, accéder à l'information et développer leur confiance en elles pour contribuer activement au bien-être de leurs communautés. Ces résultats, bien que significatifs, ne sont qu'un premier pas.
Il reste beaucoup à faire pour que chaque femme et chaque fille, où qu'elle se trouve au Tchad, puisse vivre sans violence ni discrimination ». Il a exprimé sa gratitude à l'AFD pour cette confiance renouvelée et s'engage à bien mener ce programme crucial pour les communautés. Pour la directrice adjointe de l'Agence Française de Développement (AFD), Sophie Chappellet, ce programme revêt une importance particulière pour l'AFD.
Il ne s'agit pas seulement d'un nouvel engagement, mais bien de la continuité et de l'amplification de dynamiques positives initiées avec les projets PASFASS (Projet d'Autonomisation Sociale des Femmes Tchadiennes par l'Accès aux Services de Santé). La directrice adjointe a poursuivi que le Projet Genre et Santé, mis en œuvre entre 2019 et 2024 dans les provinces du Mandoul et Logone Oriental (PASFASS) et du Guéra et Wadi Fira (PROGESAN), a produit des résultats prometteurs et a permis d'enclencher de véritables dynamiques de changement de normes et de comportements au sein des communautés.
Elle a déclaré, entre autres, que le projet intervient dans quatre provinces : le regroupement des femmes au sein de 264 Associations Villageoises d'Épargne et de Crédit a contribué à renforcer leur autonomie sociale et économique, par l'investissement, l'entrepreneuriat et l'entraide. Dans le Guéra et le Wadi-Fira, l'approche Girl Shine a permis à plus de 450 jeunes filles de bénéficier d'un accompagnement visant à renforcer leur confiance en elles, à améliorer leur connaissance de leurs droits et à les protéger.
Dans son discours de lancement, Mme la secrétaire générale du ministère de la Femme et de la Petite Enfance, Zara Ratou, a indiqué que le Tchad fait face à des défis importants en matière de promotion des droits et de l'épanouissement des femmes et des filles, notamment : les inégalités persistantes qui limitent l'accès des femmes aux services de santé, à l'éducation et aux opportunités économiques. Le taux élevé des cas de violences basées sur le genre demeure une préoccupation non négligeable.
La secrétaire a souligné l'importance de ces projets, qui s'inscrivent pleinement dans la vision stratégique du Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno, président de la République, chef de l'État, qui place la santé, le bien-être et l'égalité des chances au cœur de son programme politique. Ils contribuent à la mise en œuvre des priorités définies dans la Politique Nationale de Santé et le Plan National de Développement Sanitaire, en mettant l'accent sur la réduction des inégalités, l'amélioration de l'accès aux services de santé de qualité et la protection des droits des femmes et des filles dans toutes les provinces du pays.
« Grâce à ce programme, nous pourrons renforcer les solutions communautaires, améliorer la qualité des services de santé, lutter contre les inégalités et créer un environnement sûr et favorable pour toutes les femmes et filles tchadiennes. Ces actions contribueront à l'essor économique, social et sanitaire du pays, en plaçant les femmes au centre du développement du Tchad », a-t-elle conclu.