Étonnant qu’au XXIᵉ siècle, alors que le pays affiche sa volonté de refonder son sport national, des tournois locaux continuent de se dérouler dans des conditions aussi précaires. Pas de gradins, pas de vestiaires, encore moins de filets — juste la passion du jeu et l’envie de briller.
Pourtant, ces matchs improvisés attirent toujours du monde. Enfants, anciens, curieux : tout le village s’y retrouve pour encourager ses champions locaux. On y joue par amour du football, pas pour l’argent. On y rêve de gloire, même sans tribune ni projecteurs.
Mais derrière cette énergie débordante, une question persiste : où sont les infrastructures sportives promises ?
Le football tchadien ne manque pas de talents, mais il manque cruellement de terrains dignes de ce nom. Si rien n’est fait, beaucoup de jeunes verront leur rêve s’envoler… dans la poussière.
Le football rural est la preuve vivante que la passion peut tout surmonter. Mais pour transformer cette passion en performance, il faudra plus que du courage : il faudra des terrains.
Pourtant, ces matchs improvisés attirent toujours du monde. Enfants, anciens, curieux : tout le village s’y retrouve pour encourager ses champions locaux. On y joue par amour du football, pas pour l’argent. On y rêve de gloire, même sans tribune ni projecteurs.
Mais derrière cette énergie débordante, une question persiste : où sont les infrastructures sportives promises ?
Le football tchadien ne manque pas de talents, mais il manque cruellement de terrains dignes de ce nom. Si rien n’est fait, beaucoup de jeunes verront leur rêve s’envoler… dans la poussière.
Le football rural est la preuve vivante que la passion peut tout surmonter. Mais pour transformer cette passion en performance, il faudra plus que du courage : il faudra des terrains.
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Football rural au Tchad : la passion dans la poussière







