À la suite des récents événements survenus dans la ville de Mangalmé, située dans la province du Guera, le Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Tchad (CSAIT) a publié, ce 22 avril 2025, une déclaration officielle signée par son président, Cheikh Dr Mahamat Khatir Issa, dans laquelle il dénonce et condamne avec fermeté toutes formes de violence, d’où qu’elles viennent.
S’appuyant sur des versets coraniques et les paroles du Prophète Mohammed (paix et bénédiction d’Allah sur lui), le Conseil rappelle que les croyants sont frères et qu’il est impératif de préserver l’unité, la paix et l’honneur entre les membres de la communauté musulmane.
Dans ce contexte, le CSAIT déplore les violences qui ont éclaté à Mangalmé, notamment des agressions contre des fidèles musulmans et des atteintes aux lieux de culte, jugées inacceptables. « L’opinion ne combat pas par la violence, mais par le dialogue et la persuasion. L’usage de la force face aux divergences d’idées est une faiblesse », a déclaré le Conseil.
Dénonciation des discours extrémistes et appel à la responsabilité
Le Conseil pointe également du doigt certains discours irresponsables et imprudents émanant de dirigeants de groupes religieux ou sectaires, les accusant d’alimenter la haine et la division au sein de la société tchadienne. Il condamne les accusations de terrorisme portées contre des musulmans sur la base de leurs appartenances religieuses, et met en garde contre la stigmatisation des adeptes de la Tidjaniya, une confrérie souvent prise pour cible.
Le CSAIT rejette avec force les rumeurs diffusées sur les réseaux sociaux, accusant à tort le Conseil de partialité en faveur de la Tidjaniya, au détriment d’autres courants religieux. Selon lui, ces accusations ne reposent sur aucun fondement et ne visent qu’à semer le trouble et à nuire à la cohésion sociale.
Mise en garde contre la manipulation et l’instrumentalisation
Dans sa déclaration, le Conseil appelle à mettre fin à la propagation de discours sectaires, et exhorte les autorités à réglementer la construction des mosquées afin d’éviter les dérives. Il insiste sur la nécessité de prioriser les enjeux actuels du pays, au lieu de se perdre dans des querelles internes qui affaiblissent la communauté musulmane.
Enfin, le Cheikh Mahamat Khatir Issa conclut par un appel à l’apaisement et à l’unité : « Je ne cherche qu’à vous rendre meilleurs, autant que je le puisse. Mon succès ne relève que d’Allah. Je me confie à Lui et vers Lui je reviens repentant. Que Dieu protège notre pays et notre société de tout mal. »
S’appuyant sur des versets coraniques et les paroles du Prophète Mohammed (paix et bénédiction d’Allah sur lui), le Conseil rappelle que les croyants sont frères et qu’il est impératif de préserver l’unité, la paix et l’honneur entre les membres de la communauté musulmane.
Dans ce contexte, le CSAIT déplore les violences qui ont éclaté à Mangalmé, notamment des agressions contre des fidèles musulmans et des atteintes aux lieux de culte, jugées inacceptables. « L’opinion ne combat pas par la violence, mais par le dialogue et la persuasion. L’usage de la force face aux divergences d’idées est une faiblesse », a déclaré le Conseil.
Dénonciation des discours extrémistes et appel à la responsabilité
Le Conseil pointe également du doigt certains discours irresponsables et imprudents émanant de dirigeants de groupes religieux ou sectaires, les accusant d’alimenter la haine et la division au sein de la société tchadienne. Il condamne les accusations de terrorisme portées contre des musulmans sur la base de leurs appartenances religieuses, et met en garde contre la stigmatisation des adeptes de la Tidjaniya, une confrérie souvent prise pour cible.
Le CSAIT rejette avec force les rumeurs diffusées sur les réseaux sociaux, accusant à tort le Conseil de partialité en faveur de la Tidjaniya, au détriment d’autres courants religieux. Selon lui, ces accusations ne reposent sur aucun fondement et ne visent qu’à semer le trouble et à nuire à la cohésion sociale.
Mise en garde contre la manipulation et l’instrumentalisation
Dans sa déclaration, le Conseil appelle à mettre fin à la propagation de discours sectaires, et exhorte les autorités à réglementer la construction des mosquées afin d’éviter les dérives. Il insiste sur la nécessité de prioriser les enjeux actuels du pays, au lieu de se perdre dans des querelles internes qui affaiblissent la communauté musulmane.
Enfin, le Cheikh Mahamat Khatir Issa conclut par un appel à l’apaisement et à l’unité : « Je ne cherche qu’à vous rendre meilleurs, autant que je le puisse. Mon succès ne relève que d’Allah. Je me confie à Lui et vers Lui je reviens repentant. Que Dieu protège notre pays et notre société de tout mal. »