Le Groupe de Concertation des Acteurs Politiques (GCAP) a tenu le mercredi 7 mai 2025, un point de presse relatif à la mise en place annoncée d'un Cadre de Dialogue Politique. La déclaration a été faite par le porte-parole du GCAP, Max Kemkoye au sein du siège du parti les Patriotes à Ndjamena.
Dans sa déclaration, Max Kemkoye souligne qu'après avoir l’aliénation de l'Assemblée nationale, le Sénat et toutes les communes et provinces et déclaré la fin de la transition, ainsi que le retour supposé à l'ordre constitutionnel, il s'attendait que le pays va redémarrer comme une voiture sans chauffeur mais, il se trouve non pas sur cale, mais bloqué.
Entre temps, l’on s'attend à consolider son pouvoir, réaliser et parachever ses objectifs politiques ultimes de président de la République à vie. Et malgré une Assemblée nationale et un Sénat soumis, qui peuvent en un clic de doigt lui faire toute loi et lui concéder toute autorisation de signature des conventions ou d'accords des prêts phénoménaux.
Max Kemkoye indique que tant que la stabilité n'est pas au rendez-vous, les grandes questions politiques qui vont déclencher un débat national risquent de les échapper dans un contexte politique où le cœur du pouvoir actuel ne tient pour le moment qu'à un fil. En effet, l'Assemblée nationale et le Sénat n'ont de rôle et d'intervention que normatif, c'est-à-dire ne sont contents que sur des questions législatives au sein desquels l'on ne traite pas les questions politiques.
Ainsi donc, il faut à la suite d'un simulacre de dissolution du CNCP, cet organe vil et ignoble, remettre en place, non pas un cadre de concertation des partis politiques, mais un cadre de dialogue politique dans lequel, tous les acteurs politiques doivent consentir et y siéger. Max Kemkoye conclut que le GCAP n'est pas une coalition de caution à un pouvoir qui souffre de déficit de légitimité.
Si le système s'est rendu compte de l'instabilité actuelle du pays, et de son pouvoir qui ne tient qu'à un fil, et qu'il y a des problèmes politiques majeurs dont ni l'Assemblée nationale et le Sénat dans lesquelles siègent des personnes nommées et non élues, la voie royale pour un apaisement et la stabilité devant instaurer la confiance des Tchadiens aux institutions, demeure ni plus ni moins l'ouverture d'un dialogue politique sincère.
Et si c'est le cas, le GCAP et ses partenaires sont prêts à y participer.
Dans sa déclaration, Max Kemkoye souligne qu'après avoir l’aliénation de l'Assemblée nationale, le Sénat et toutes les communes et provinces et déclaré la fin de la transition, ainsi que le retour supposé à l'ordre constitutionnel, il s'attendait que le pays va redémarrer comme une voiture sans chauffeur mais, il se trouve non pas sur cale, mais bloqué.
Entre temps, l’on s'attend à consolider son pouvoir, réaliser et parachever ses objectifs politiques ultimes de président de la République à vie. Et malgré une Assemblée nationale et un Sénat soumis, qui peuvent en un clic de doigt lui faire toute loi et lui concéder toute autorisation de signature des conventions ou d'accords des prêts phénoménaux.
Max Kemkoye indique que tant que la stabilité n'est pas au rendez-vous, les grandes questions politiques qui vont déclencher un débat national risquent de les échapper dans un contexte politique où le cœur du pouvoir actuel ne tient pour le moment qu'à un fil. En effet, l'Assemblée nationale et le Sénat n'ont de rôle et d'intervention que normatif, c'est-à-dire ne sont contents que sur des questions législatives au sein desquels l'on ne traite pas les questions politiques.
Ainsi donc, il faut à la suite d'un simulacre de dissolution du CNCP, cet organe vil et ignoble, remettre en place, non pas un cadre de concertation des partis politiques, mais un cadre de dialogue politique dans lequel, tous les acteurs politiques doivent consentir et y siéger. Max Kemkoye conclut que le GCAP n'est pas une coalition de caution à un pouvoir qui souffre de déficit de légitimité.
Si le système s'est rendu compte de l'instabilité actuelle du pays, et de son pouvoir qui ne tient qu'à un fil, et qu'il y a des problèmes politiques majeurs dont ni l'Assemblée nationale et le Sénat dans lesquelles siègent des personnes nommées et non élues, la voie royale pour un apaisement et la stabilité devant instaurer la confiance des Tchadiens aux institutions, demeure ni plus ni moins l'ouverture d'un dialogue politique sincère.
Et si c'est le cas, le GCAP et ses partenaires sont prêts à y participer.