Ce jeudi 22 mai 2025, le Premier ministre, chef du gouvernement, Amb. Allah Maye Halina, a fait à son cabinet, une communication à l'attention des représentants diplomatiques et humanitaires au Tchad. Au centre de cette communication, la situation humanitaire des réfugiés et des déplacés sur le territoire tchadien.
En effet, depuis avril 2023, le Tchad accueille sur son territoire près de 800 000 réfugiés et déplacés, conséquences des conflits armés dans les pays voisins. Les provinces de l'Est du Tchad sont aujourd'hui les plus exposées, à savoir le Sila, le Ouaddaï, le Wadi-Fira et l'Ennedi Est, sans oublier la province du Lac.
Ces réfugiés, en plus d'être exposés aux maladies graves et aux conditions de vie dégradantes, sont menacés par leur position géographique (près des zones de conflit armé), en raison de la guerre au Soudan. Cette situation ne favorise, ni la stabilité du Tchad, ni le bien-être de ces réfugiés. C'est pourquoi la relocalisation des réfugiés vers des sites plus sûrs et plus stables est aujourd'hui une urgence.
Pour le Premier ministre, cette dégradation de la situation est préoccupante et mérite une attention particulière. Il lance un appel pressant aux organisations humanitaires, afin que les réfugiés puissent bénéficier d'une situation plus humaine, plus sécurisée et plus honorable. « Relocaliser ces populations vers des sites plus sûrs, mieux aménagés, avec un accès minimum à l'eau, à la santé, à l'éducation et à la protection n'est pas une option : c'est une urgence humanitaire, une responsabilité morale et un impératif sécuritaire de premier ordre », a-t-il insisté.
Le coordonnateur résident du système des Nations-Unies et coordonnateur humanitaire au Tchad, Dr François Batalingaya, après avoir remercié le Tchad pour avoir ouvert ses frontières aux personnes en situation de détresse humanitaire, se dit prêt à agir promptement en faveur des réfugiés et des déplacés sur le territoire tchadien.
Ont été présents à cette communication, le ministre d’État, ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, Limane Mahamat, la ministre secrétaire générale du gouvernement, Dr Ramatou Mahamat Houtouin, la ministre de l'Action sociale, de la Solidarité et des Affaires humanitaires, Zara Mahamat Issa ; ainsi que plusieurs autres membres du gouvernement, les représentants des institutions humanitaires et quelques membres du cabinet du Premier ministre.
En effet, depuis avril 2023, le Tchad accueille sur son territoire près de 800 000 réfugiés et déplacés, conséquences des conflits armés dans les pays voisins. Les provinces de l'Est du Tchad sont aujourd'hui les plus exposées, à savoir le Sila, le Ouaddaï, le Wadi-Fira et l'Ennedi Est, sans oublier la province du Lac.
Ces réfugiés, en plus d'être exposés aux maladies graves et aux conditions de vie dégradantes, sont menacés par leur position géographique (près des zones de conflit armé), en raison de la guerre au Soudan. Cette situation ne favorise, ni la stabilité du Tchad, ni le bien-être de ces réfugiés. C'est pourquoi la relocalisation des réfugiés vers des sites plus sûrs et plus stables est aujourd'hui une urgence.
Pour le Premier ministre, cette dégradation de la situation est préoccupante et mérite une attention particulière. Il lance un appel pressant aux organisations humanitaires, afin que les réfugiés puissent bénéficier d'une situation plus humaine, plus sécurisée et plus honorable. « Relocaliser ces populations vers des sites plus sûrs, mieux aménagés, avec un accès minimum à l'eau, à la santé, à l'éducation et à la protection n'est pas une option : c'est une urgence humanitaire, une responsabilité morale et un impératif sécuritaire de premier ordre », a-t-il insisté.
Le coordonnateur résident du système des Nations-Unies et coordonnateur humanitaire au Tchad, Dr François Batalingaya, après avoir remercié le Tchad pour avoir ouvert ses frontières aux personnes en situation de détresse humanitaire, se dit prêt à agir promptement en faveur des réfugiés et des déplacés sur le territoire tchadien.
Ont été présents à cette communication, le ministre d’État, ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, Limane Mahamat, la ministre secrétaire générale du gouvernement, Dr Ramatou Mahamat Houtouin, la ministre de l'Action sociale, de la Solidarité et des Affaires humanitaires, Zara Mahamat Issa ; ainsi que plusieurs autres membres du gouvernement, les représentants des institutions humanitaires et quelques membres du cabinet du Premier ministre.