C’est la maison de quartier de Chagoua qui a servi de cadre, le 12 juillet 2022, à la cérémonie de lancement de cette campagne.
En effet, il s’agit d’un projet de lutte contre la violence basée sur le genre, cofinancé par l’Union européenne, et mis en œuvre par un consortium d’associations. Dans ce consortium, figure cinq grandes associations qui se sont mises ensemble pour lutter contre la violence basée sur le genre (VBG). Le projet couvre six zones du Tchad : Ndjamena, les deux Logone, le Mandoul, le Moyen-Chari et le Salamat.
Le projet vise à procéder aux différentes étapes de la campagne de sensibilisation, sur les préventions de la violence basée sur le genre, afin d’écouter et orienter les cibles bénéficiaires, notamment les jeunes filles, les filles-mères, les femmes et garçons. Il a pour objectif spécifique de procéder à la sensibilisation de proximité en masse sur les méfaits de la violence basée sur le genre en milieu scolaire, universitaire, dans les ménages et sites religieux.
Au total, 10 000 jeunes filles, filles-mères, femmes et hommes seront sensibilisés sur la prévention de la violence basée sur le genre en milieu scolaire et dans les ménages. Lançant la campagne, la présidente de l’SADSED/PV, Mme Makodjibeye Célestine, affirme que ce projet vise 20 quartiers du 7ème arrondissement et les provinces.
Pour elle, la synergie d’action, en signant le 6 avril dernier une convention de partenariat portant sur la campagne de sensibilisation de la prévention de la VBG dans les 20 quartiers du 7ème arrondissement de Ndjamena, vise à mettre en commun les moyens en vue d’éradiquer ce fléau de violence, et de réduire la vulnérabilité de la population à ce risque. « Certains cas de violences que nous rencontrons dans la vie ont des sources d’origine scolaire, estudiantine et ménagère », a-t-elle ajouté.
Elle relève qu’un dispositif d’encadrement continu doit être mis en place par les promoteurs des établissements scolaires publics, privés, en relation avec les chefs de ménages, les centres d’animation culturelle, pour relier l’information préventive à travers des tables-rondes, conférences-débats, sketchs, etc., afin de réduire significativement le taux de croissance de la VBG.
Selon l’animateur technique du projet, Dillah Romain, la violence est tout ce qu’on fait de mal à l’égard de quelqu’un. D’après lui, il y a plusieurs formes de violences : la violence physique, la violence morale, la violence sexuelle, la violence économique et la violence éducative.
Dillah Romain révèle que dans certaines écoles, l’on peut trouver une seule toilette qui est fréquentée par les filles et garçons. D’autres toilettes sont seulement attachées à travers des rideaux, exposant ainsi les filles, et cela est une violence morale.
En effet, il s’agit d’un projet de lutte contre la violence basée sur le genre, cofinancé par l’Union européenne, et mis en œuvre par un consortium d’associations. Dans ce consortium, figure cinq grandes associations qui se sont mises ensemble pour lutter contre la violence basée sur le genre (VBG). Le projet couvre six zones du Tchad : Ndjamena, les deux Logone, le Mandoul, le Moyen-Chari et le Salamat.
Le projet vise à procéder aux différentes étapes de la campagne de sensibilisation, sur les préventions de la violence basée sur le genre, afin d’écouter et orienter les cibles bénéficiaires, notamment les jeunes filles, les filles-mères, les femmes et garçons. Il a pour objectif spécifique de procéder à la sensibilisation de proximité en masse sur les méfaits de la violence basée sur le genre en milieu scolaire, universitaire, dans les ménages et sites religieux.
Au total, 10 000 jeunes filles, filles-mères, femmes et hommes seront sensibilisés sur la prévention de la violence basée sur le genre en milieu scolaire et dans les ménages. Lançant la campagne, la présidente de l’SADSED/PV, Mme Makodjibeye Célestine, affirme que ce projet vise 20 quartiers du 7ème arrondissement et les provinces.
Pour elle, la synergie d’action, en signant le 6 avril dernier une convention de partenariat portant sur la campagne de sensibilisation de la prévention de la VBG dans les 20 quartiers du 7ème arrondissement de Ndjamena, vise à mettre en commun les moyens en vue d’éradiquer ce fléau de violence, et de réduire la vulnérabilité de la population à ce risque. « Certains cas de violences que nous rencontrons dans la vie ont des sources d’origine scolaire, estudiantine et ménagère », a-t-elle ajouté.
Elle relève qu’un dispositif d’encadrement continu doit être mis en place par les promoteurs des établissements scolaires publics, privés, en relation avec les chefs de ménages, les centres d’animation culturelle, pour relier l’information préventive à travers des tables-rondes, conférences-débats, sketchs, etc., afin de réduire significativement le taux de croissance de la VBG.
Selon l’animateur technique du projet, Dillah Romain, la violence est tout ce qu’on fait de mal à l’égard de quelqu’un. D’après lui, il y a plusieurs formes de violences : la violence physique, la violence morale, la violence sexuelle, la violence économique et la violence éducative.
Dillah Romain révèle que dans certaines écoles, l’on peut trouver une seule toilette qui est fréquentée par les filles et garçons. D’autres toilettes sont seulement attachées à travers des rideaux, exposant ainsi les filles, et cela est une violence morale.