Le ministère de l’Environnement, de la Pêche et du Développement durable a organisé, le 8 octobre 2025, un atelier d’information et de concertation avec les parties prenantes, dans le cadre de la préparation de la participation du Tchad à la COP30.
Dans son allocution, Mme Fatima Goukouni Wedeïye, ministre de l’Environnement, a rappelé que cet atelier, placé sous le thème : « Informations, sensibilisation et concertation des parties prenantes pour bâtir une position nationale ambitieuse et inclusive pour la COP30 », vise à garantir une participation réellement inclusive et une coordination efficace des acteurs sur les enjeux, objectifs et processus de cette conférence mondiale.
Elle a souligné que les phénomènes météorologiques extrêmes observés au Tchad comme ailleurs ne doivent pas être perçus comme de simples caprices de la nature, mais comme les symptômes d’une planète en souffrance, fragilisée par la surconsommation et les comportements humains. Pour le Tchad, les enjeux sont considérables : l’économie, les écosystèmes, la sécurité alimentaire et la santé des populations sont directement menacés.
La ministre a rappelé que la raréfaction des ressources naturelles provoque déjà des conflits, notamment entre agriculteurs et éleveurs, ce qui risque de fragiliser davantage le tissu social. Toutefois, elle estime que cette menace constitue aussi une opportunité : celle de construire un avenir résilient, sobre en carbone et équitable pour tous.
Enfin, Mme Fatima Goukouni Wedeïye a insisté sur le fait qu’aucun acteur isolé, qu’il s’agisse d’un ministre ou d’une organisation, ne peut relever seul ce défi. La réponse exige un travail collectif, cohérent et concerté.
Dans son allocution, Mme Fatima Goukouni Wedeïye, ministre de l’Environnement, a rappelé que cet atelier, placé sous le thème : « Informations, sensibilisation et concertation des parties prenantes pour bâtir une position nationale ambitieuse et inclusive pour la COP30 », vise à garantir une participation réellement inclusive et une coordination efficace des acteurs sur les enjeux, objectifs et processus de cette conférence mondiale.
Elle a souligné que les phénomènes météorologiques extrêmes observés au Tchad comme ailleurs ne doivent pas être perçus comme de simples caprices de la nature, mais comme les symptômes d’une planète en souffrance, fragilisée par la surconsommation et les comportements humains. Pour le Tchad, les enjeux sont considérables : l’économie, les écosystèmes, la sécurité alimentaire et la santé des populations sont directement menacés.
La ministre a rappelé que la raréfaction des ressources naturelles provoque déjà des conflits, notamment entre agriculteurs et éleveurs, ce qui risque de fragiliser davantage le tissu social. Toutefois, elle estime que cette menace constitue aussi une opportunité : celle de construire un avenir résilient, sobre en carbone et équitable pour tous.
Enfin, Mme Fatima Goukouni Wedeïye a insisté sur le fait qu’aucun acteur isolé, qu’il s’agisse d’un ministre ou d’une organisation, ne peut relever seul ce défi. La réponse exige un travail collectif, cohérent et concerté.