Le ministère du Développement touristique, de la Culture et de l’Artisanat a salué, le 8 octobre 2025, la décision souveraine prise par le ministère de l’Environnement, de la Pêche et du Développement durable, de résilier l’ensemble des accords de partenariat liant la République du Tchad à l’ONG African Parks Network (APN).
Cette décision, qualifiée de « courageuse et patriotique », vise à préserver la souveraineté nationale, et à garantir la transparence dans la gestion des ressources publiques, tout en promouvant une gestion durable et équitable du patrimoine naturel, culturel et touristique tchadien.
Selon le communiqué, plusieurs irrégularités et pratiques contraires aux intérêts nationaux, ont été relevées au cours des évaluations menées par les services compétents. Parmi elles : une dérive financière transformant une organisation à but non lucratif en opérateur commercial ; l’existence avérée de comptes offshore dans des juridictions à fiscalité privilégiée, entraînant une fuite de capitaux ; l’opacité dans la gestion des recettes touristiques, sans réinvestissement identifiable au profit du pays ; l’exploitation illégale d’aires protégées et d’infrastructures, notamment dans le parc de l’Ennedi et les camps touristiques Tinga et Nomade ; une défiance persistante vis-à-vis des institutions nationales et du ministère en charge du Tourisme.
Le gouvernement tchadien affirme ainsi sa détermination à défendre la souveraineté économique et institutionnelle du pays, à promouvoir une gouvernance saine, et à refuser toute ingérence extérieure dans la gestion de ses ressources et de son patrimoine.
Le ministre du Développement touristique, Abakar Rozzi Teguil, a réaffirmé la disponibilité de son département à construire une nouvelle dynamique de partenariat « fondée sur la transparence, le respect mutuel et la valorisation harmonieuse du patrimoine national ».
Cette décision, qualifiée de « courageuse et patriotique », vise à préserver la souveraineté nationale, et à garantir la transparence dans la gestion des ressources publiques, tout en promouvant une gestion durable et équitable du patrimoine naturel, culturel et touristique tchadien.
Selon le communiqué, plusieurs irrégularités et pratiques contraires aux intérêts nationaux, ont été relevées au cours des évaluations menées par les services compétents. Parmi elles : une dérive financière transformant une organisation à but non lucratif en opérateur commercial ; l’existence avérée de comptes offshore dans des juridictions à fiscalité privilégiée, entraînant une fuite de capitaux ; l’opacité dans la gestion des recettes touristiques, sans réinvestissement identifiable au profit du pays ; l’exploitation illégale d’aires protégées et d’infrastructures, notamment dans le parc de l’Ennedi et les camps touristiques Tinga et Nomade ; une défiance persistante vis-à-vis des institutions nationales et du ministère en charge du Tourisme.
Le gouvernement tchadien affirme ainsi sa détermination à défendre la souveraineté économique et institutionnelle du pays, à promouvoir une gouvernance saine, et à refuser toute ingérence extérieure dans la gestion de ses ressources et de son patrimoine.
Le ministre du Développement touristique, Abakar Rozzi Teguil, a réaffirmé la disponibilité de son département à construire une nouvelle dynamique de partenariat « fondée sur la transparence, le respect mutuel et la valorisation harmonieuse du patrimoine national ».