Le 20 octobre, des manifestations ont éclaté à travers le pays pour contraindre le président Mahamat Idriss Deby à remettre le pouvoir aux civils, à l’issue de la fin de la période initiale de transition de 18 mois. Cette période a été renouvelée de 24 mois lors du dialogue national.
Les manifestations ont été réprimées, faisant au moins 50 morts et 300 blessés.
Le gouvernement affirme qu’il s’agit d’une insurrection formentée pour déstabiliser les institutions de la République.
En réaction aux événements, les autorités ont décrété l’état d’urgence et instauré un couvre-feu à N’Djamena, Moundou, Doba et Koumra.
Ce sera la deuxième déclaration à la nation du président de la transition en l'espace d'une semaine, après celle axée sur les inondations.
Les manifestations ont été réprimées, faisant au moins 50 morts et 300 blessés.
Le gouvernement affirme qu’il s’agit d’une insurrection formentée pour déstabiliser les institutions de la République.
En réaction aux événements, les autorités ont décrété l’état d’urgence et instauré un couvre-feu à N’Djamena, Moundou, Doba et Koumra.
Ce sera la deuxième déclaration à la nation du président de la transition en l'espace d'une semaine, après celle axée sur les inondations.