L’Université Ardepdjoumal, située dans le 3ème arrondissement de N’Djamena, a accueilli le 20 juin 2025, une conférence-débat organisée par les étudiants ambassadeurs du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
Placée sous le thème ‹‹ Enjeux de la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD) au Tchad », cette rencontre a réuni, le vice-président de l'université de N'Djamena, un élu local, et les membres du PNUD, autour des défis socio-économiques et environnementaux du pays, un dialogue axé sur les priorités nationales.
Ouverte par le vice-président de l’Université de N’Djamena, le Pr Tatoloum Amane, la discussion a mis en lumière les obstacles majeurs au développement du Tchad : pauvreté, insécurité alimentaire, inégalités de genre et accès limité aux services de base. Le Pr Tatoloum Amane a salué l’initiative des étudiants ambassadeurs, qualifiant leur rôle de pont essentiel entre le PNUD et la jeunesse tchadienne.
Ces derniers ont pour mission de sensibiliser leurs pairs et de promouvoir les 17 ODD, dont l’éradication de la faim, l’éducation de qualité et la lutte contre le changement climatique.
Les axes clés du PNUD au Tchad, alignés sur la Vision 2030 du Tchad et le Plan National de Développement le PNUD, concentrent les interventions sur plusieurs leviers : réduction de la pauvreté : programmes ciblés en zones rurales et urbaines. Services sociaux de base : amélioration de l’accès à la santé, à l’eau potable et à l’éducation. Résilience climatique : soutien aux communautés vulnérables face aux chocs environnementaux. Renforcement des institutions et promotion de la cohésion sociale. Égalité des genres, lutte contre les violences basées sur le genre et autonomisation des femmes.
Les participants ont interpellé les panelistes sur les insuffisances persistantes en matière d’éducation, de chômage des jeunes et de protection des femmes. Comment concrétiser les ODD dans un contexte de ressources limitées ? Quelles actions prioritaires pour l’autonomisation des filles ? Autant de questions reflétant l’urgence d’agir.
En réponse, le PNUD a rappelé ses partenariats avec le gouvernement et la société civile, tout en appelant à une mobilisation collective. « Les ODD ne sont pas un idéal lointain, mais un cadre actionnable », a souligné son représentant adjoint. Le panel a également souligné les interventions d'urgence auprès du gouvernement, l'accueil des réfugiés, la gestion des phénomènes naturels tel que les inondations, le curage des caniveaux.
La conférence s’est achevée sur un plaidoyer pour une accélération des réformes et une meilleure inclusion des jeunes dans les politiques publiques. C’est une preuve que la route vers 2030 reste semée d’embûches, mais la jeunesse tchadienne entend bien y prendre toute sa part.
Placée sous le thème ‹‹ Enjeux de la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD) au Tchad », cette rencontre a réuni, le vice-président de l'université de N'Djamena, un élu local, et les membres du PNUD, autour des défis socio-économiques et environnementaux du pays, un dialogue axé sur les priorités nationales.
Ouverte par le vice-président de l’Université de N’Djamena, le Pr Tatoloum Amane, la discussion a mis en lumière les obstacles majeurs au développement du Tchad : pauvreté, insécurité alimentaire, inégalités de genre et accès limité aux services de base. Le Pr Tatoloum Amane a salué l’initiative des étudiants ambassadeurs, qualifiant leur rôle de pont essentiel entre le PNUD et la jeunesse tchadienne.
Ces derniers ont pour mission de sensibiliser leurs pairs et de promouvoir les 17 ODD, dont l’éradication de la faim, l’éducation de qualité et la lutte contre le changement climatique.
Les axes clés du PNUD au Tchad, alignés sur la Vision 2030 du Tchad et le Plan National de Développement le PNUD, concentrent les interventions sur plusieurs leviers : réduction de la pauvreté : programmes ciblés en zones rurales et urbaines. Services sociaux de base : amélioration de l’accès à la santé, à l’eau potable et à l’éducation. Résilience climatique : soutien aux communautés vulnérables face aux chocs environnementaux. Renforcement des institutions et promotion de la cohésion sociale. Égalité des genres, lutte contre les violences basées sur le genre et autonomisation des femmes.
Les participants ont interpellé les panelistes sur les insuffisances persistantes en matière d’éducation, de chômage des jeunes et de protection des femmes. Comment concrétiser les ODD dans un contexte de ressources limitées ? Quelles actions prioritaires pour l’autonomisation des filles ? Autant de questions reflétant l’urgence d’agir.
En réponse, le PNUD a rappelé ses partenariats avec le gouvernement et la société civile, tout en appelant à une mobilisation collective. « Les ODD ne sont pas un idéal lointain, mais un cadre actionnable », a souligné son représentant adjoint. Le panel a également souligné les interventions d'urgence auprès du gouvernement, l'accueil des réfugiés, la gestion des phénomènes naturels tel que les inondations, le curage des caniveaux.
La conférence s’est achevée sur un plaidoyer pour une accélération des réformes et une meilleure inclusion des jeunes dans les politiques publiques. C’est une preuve que la route vers 2030 reste semée d’embûches, mais la jeunesse tchadienne entend bien y prendre toute sa part.