Les caniveaux de la capitale tchadienne, essentiels à l'évacuation des eaux pluviales et à la salubrité publique, sont devenus le théâtre d'une pratique d'incivisme persistante : le dépôt sauvage d'ordures ménagères.
Ce comportement irréfléchi, largement observé autour des canaux de drainage, constitue un véritable fléau qui compromet non seulement l'efficacité de ces infrastructures, mais menace également la santé publique et l'environnement.
Face à ces comportements nuisibles pour les canaux de drainage d'eau, une prise de mesure visant à sanctionner les auteurs est importante. Le canal de drainage de Chari-Mongo, partagé entre le 7ème et le 8ème arrondissement, en est un exemple criant. Chaque jour, des montagnes de déchets y sont déversées par les ménages riverains, transformant cet ouvrage vital en une décharge à ciel ouvert.
Les conséquences sont désastreuses : les caniveaux sont obstrués, entraînant des inondations lors des moindres averses, la prolifération des moustiques et autres vecteurs de maladies, et une dégradation générale du cadre de vie. Face à cette situation alarmante, les autorités locales et la société civile s'interrogent sur les mesures à prendre pour endiguer ce phénomène.
L'une des pistes les plus sérieuses envisagées est l'instauration de sanctions dissuasives à l'encontre des contrevenants. Une approche qui pourrait inclure des amendes significatives pour ceux qui seraient pris en flagrant délit de déversement illégal de déchets. Au-delà des sanctions, des solutions plus proactives sont également à l'étude.
La mise en place d'une équipe de surveillance dédiée le long des canaux de drainage permettrait une présence constante et une intervention rapide en cas d'infraction. Couplée à cela, l'électrification des zones sensibles et l'installation de caméras de surveillance représentent une piste non négligeable.
Ces dispositifs technologiques offriraient, non seulement un moyen de dissuasion efficace, mais aussi des preuves irréfutables pour identifier et poursuivre les individus inciviques. Il est impératif que les habitants de N'Djamena prennent conscience de l'impact dévastateur de leurs comportements sur leur propre environnement et sur le bien-être collectif.
La propreté des caniveaux n'est pas uniquement de la responsabilité des autorités ; elle est l'affaire de tous. Sans une prise de conscience collective et un changement des mentalités, les efforts des pouvoirs publics resteront vains et les caniveaux de N'Djamena continueront d'être des victimes silencieuses de l'incivisme quotidien.
Ce comportement irréfléchi, largement observé autour des canaux de drainage, constitue un véritable fléau qui compromet non seulement l'efficacité de ces infrastructures, mais menace également la santé publique et l'environnement.
Face à ces comportements nuisibles pour les canaux de drainage d'eau, une prise de mesure visant à sanctionner les auteurs est importante. Le canal de drainage de Chari-Mongo, partagé entre le 7ème et le 8ème arrondissement, en est un exemple criant. Chaque jour, des montagnes de déchets y sont déversées par les ménages riverains, transformant cet ouvrage vital en une décharge à ciel ouvert.
Les conséquences sont désastreuses : les caniveaux sont obstrués, entraînant des inondations lors des moindres averses, la prolifération des moustiques et autres vecteurs de maladies, et une dégradation générale du cadre de vie. Face à cette situation alarmante, les autorités locales et la société civile s'interrogent sur les mesures à prendre pour endiguer ce phénomène.
L'une des pistes les plus sérieuses envisagées est l'instauration de sanctions dissuasives à l'encontre des contrevenants. Une approche qui pourrait inclure des amendes significatives pour ceux qui seraient pris en flagrant délit de déversement illégal de déchets. Au-delà des sanctions, des solutions plus proactives sont également à l'étude.
La mise en place d'une équipe de surveillance dédiée le long des canaux de drainage permettrait une présence constante et une intervention rapide en cas d'infraction. Couplée à cela, l'électrification des zones sensibles et l'installation de caméras de surveillance représentent une piste non négligeable.
Ces dispositifs technologiques offriraient, non seulement un moyen de dissuasion efficace, mais aussi des preuves irréfutables pour identifier et poursuivre les individus inciviques. Il est impératif que les habitants de N'Djamena prennent conscience de l'impact dévastateur de leurs comportements sur leur propre environnement et sur le bien-être collectif.
La propreté des caniveaux n'est pas uniquement de la responsabilité des autorités ; elle est l'affaire de tous. Sans une prise de conscience collective et un changement des mentalités, les efforts des pouvoirs publics resteront vains et les caniveaux de N'Djamena continueront d'être des victimes silencieuses de l'incivisme quotidien.