Dans son allocution, le Dr Youssouf Mahamat Youssouf Terri, coordonnateur de la formation, a salué le mérite et la persévérance des 41 auditeurs ayant achevé avec succès une année exigeante. Il a mis en avant la singularité de cette promotion, composée de hauts cadres – anciens ministres, présidents de conseils d’administration, directeurs généraux et parlementaires – qui ont accepté de « revenir sur les bancs de l’école » pour renforcer leurs compétences.
Il a également souligné la diversité des profils, la qualité du cursus animé par des experts nationaux et internationaux, ainsi que l’esprit de solidarité et de fraternité qui a marqué l’année. Tout en reconnaissant quelques dérives liées à l’usage inapproprié de l’intelligence artificielle par une minorité, il a insisté sur la nécessité de « tirer les leçons de cette expérience pour améliorer les formations futures ».
Une école au cœur de la réforme de l’État
Le Directeur général de l’ENA, le Dr Mahamat Borgou Hassane, a exprimé sa « fierté et satisfaction profonde ». Selon lui, la formation continue n’est pas une option, mais une « nécessité stratégique » et un « levier fondamental » pour transformer l’administration publique.
S’adressant aux lauréats, il les a désignés comme les « ambassadeurs d’une nouvelle culture administrative » fondée sur la compétence, l’intégrité et l’efficacité. Il a replacé cette réussite dans le cadre des réformes impulsées par le Président de la République, le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, et le Premier ministre Allamaye Halina, affirmant que « l’ENA s’est transformée en un véritable laboratoire d’innovation administrative et un accélérateur de compétences ».
Il a aussi salué la présence des auditeurs de la 3ᵉ promotion, dont les cours débuteront le 3 novembre, preuve d’un élan continu.
« L’humilité précède la qualité »
La Ministre, Secrétaire générale du Gouvernement et Présidente du Conseil d’administration de l’ENA, le Dr Ramatou Mahamat Houtouin, a livré le discours de clôture. Elle a salué bien plus qu’une fin de formation : « un état d’esprit ».
Rendant hommage à l’humilité des cadres expérimentés qui ont accepté de reprendre le chemin des études, elle a déclaré : « Votre présence ici dit l’essentiel : l’humilité précède la qualité. » Elle a rappelé que la vision du Président de la République met au cœur de l’action publique la montée en compétences et la culture du résultat.
Décrivant l’ENA comme un « atelier d’exigence » et non un « monument », elle a réaffirmé deux principes fondamentaux : le bilinguisme effectif et le management de la performance, qui « n’est pas un slogan, mais une culture ».
Une promesse pour l’avenir
En conclusion, elle a invité les diplômés à considérer leur certificat non comme un aboutissement, mais comme « une promesse » : celle de continuer à grandir pour rendre demain l’action publique « plus claire, plus juste, plus efficace, au service des concitoyens ».
La cérémonie s’est achevée sous les applaudissements, consacrant les lauréats comme de véritables ambassadeurs d’une administration tchadienne renouvelée, placée sous le signe de l’humilité, de l’efficacité et de l’exigence.
Il a également souligné la diversité des profils, la qualité du cursus animé par des experts nationaux et internationaux, ainsi que l’esprit de solidarité et de fraternité qui a marqué l’année. Tout en reconnaissant quelques dérives liées à l’usage inapproprié de l’intelligence artificielle par une minorité, il a insisté sur la nécessité de « tirer les leçons de cette expérience pour améliorer les formations futures ».
Une école au cœur de la réforme de l’État
Le Directeur général de l’ENA, le Dr Mahamat Borgou Hassane, a exprimé sa « fierté et satisfaction profonde ». Selon lui, la formation continue n’est pas une option, mais une « nécessité stratégique » et un « levier fondamental » pour transformer l’administration publique.
S’adressant aux lauréats, il les a désignés comme les « ambassadeurs d’une nouvelle culture administrative » fondée sur la compétence, l’intégrité et l’efficacité. Il a replacé cette réussite dans le cadre des réformes impulsées par le Président de la République, le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, et le Premier ministre Allamaye Halina, affirmant que « l’ENA s’est transformée en un véritable laboratoire d’innovation administrative et un accélérateur de compétences ».
Il a aussi salué la présence des auditeurs de la 3ᵉ promotion, dont les cours débuteront le 3 novembre, preuve d’un élan continu.
« L’humilité précède la qualité »
La Ministre, Secrétaire générale du Gouvernement et Présidente du Conseil d’administration de l’ENA, le Dr Ramatou Mahamat Houtouin, a livré le discours de clôture. Elle a salué bien plus qu’une fin de formation : « un état d’esprit ».
Rendant hommage à l’humilité des cadres expérimentés qui ont accepté de reprendre le chemin des études, elle a déclaré : « Votre présence ici dit l’essentiel : l’humilité précède la qualité. » Elle a rappelé que la vision du Président de la République met au cœur de l’action publique la montée en compétences et la culture du résultat.
Décrivant l’ENA comme un « atelier d’exigence » et non un « monument », elle a réaffirmé deux principes fondamentaux : le bilinguisme effectif et le management de la performance, qui « n’est pas un slogan, mais une culture ».
Une promesse pour l’avenir
En conclusion, elle a invité les diplômés à considérer leur certificat non comme un aboutissement, mais comme « une promesse » : celle de continuer à grandir pour rendre demain l’action publique « plus claire, plus juste, plus efficace, au service des concitoyens ».
La cérémonie s’est achevée sous les applaudissements, consacrant les lauréats comme de véritables ambassadeurs d’une administration tchadienne renouvelée, placée sous le signe de l’humilité, de l’efficacité et de l’exigence.