
Une affaire familiale pour le moins inhabituelle a été portée, le mardi 14 octobre 2025, devant le tribunal de grande instance de N’Djamena. Un homme est accusé d’avoir agressé son gendre à la machette, à la suite d’un différend conjugal impliquant sa fille.
Selon le plaignant, cette agression ferait suite à des accusations proférées par son épouse à l’encontre de son père, qu’elle soupçonnait de l’avoir « marchandée à d’autres hommes ». Furieux, le gendre aurait confronté son beau-père, entraînant une violente altercation.
Mais le prévenu, de son côté, a présenté une version totalement opposée. Il affirme que son gendre aurait fait irruption à son domicile armé, aurait tenté d’enlever une autre jeune femme vivant sous son toit, et aurait ouvert le feu sur lui. Selon ses dires, il n’aurait fait que se défendre face à une attaque imminente.
En l’absence de dossier médical prouvant les blessures du plaignant, la Cour a décidé de renvoyer l’affaire à la semaine prochaine, afin de permettre à la partie civile de produire les certificats médicaux nécessaires.
Selon le plaignant, cette agression ferait suite à des accusations proférées par son épouse à l’encontre de son père, qu’elle soupçonnait de l’avoir « marchandée à d’autres hommes ». Furieux, le gendre aurait confronté son beau-père, entraînant une violente altercation.
Mais le prévenu, de son côté, a présenté une version totalement opposée. Il affirme que son gendre aurait fait irruption à son domicile armé, aurait tenté d’enlever une autre jeune femme vivant sous son toit, et aurait ouvert le feu sur lui. Selon ses dires, il n’aurait fait que se défendre face à une attaque imminente.
En l’absence de dossier médical prouvant les blessures du plaignant, la Cour a décidé de renvoyer l’affaire à la semaine prochaine, afin de permettre à la partie civile de produire les certificats médicaux nécessaires.