
Un jeune homme de 19 ans a comparu devant le Tribunal de Grande Instance de N'Djamena le 14 octobre 2025, accusé de tentative d'assassinat après avoir poignardé un homme qu'il venait de rencontrer, suite à une dispute portant sur une cigarette. Selon le témoignage de la victime, l'agression a eu lieu juste après qu'il ait acheté un paquet de cigarettes.
L'accusé, un jeune homme de 19 ans, s'est approché de lui, le suppliant de lui donner une cigarette, arguant qu'il était lui aussi fumeur.
La victime a accepté, lui demandant cependant de patienter quelques instants, le temps d'allumer sa propre cigarette. C'est cette courte attente qui aurait provoqué la fureur du jeune homme. Impatient, l'accusé a immédiatement administré un coup de poing à la victime.
Ne comprenant pas cette réaction, il aurait fait comprendre au jeune homme qu'étant aussi fumeur, il ne peut pas lui refuser la cigarette, soulignant la solidarité des fumeurs, et ensuite la victime a cru d'abord à une mauvaise blague. L'accusé a alors dégainé un couteau et a poignardé la partie civile au niveau de l'abdomen. Par chance, la victime a échappé à la mort.
Face au tribunal, l'accusé n'a pas nié les faits et a exprimé ses regrets. Questionnées par la cour, les deux parties ont affirmé qu'il n'existait aucun contentieux antérieur entre elles et qu'elles ne se connaissaient pas avant l'altercation. La victime a souligné que la famille du jeune homme a contribué à sa prise en charge pour les soins. Cette dernière aurait ensuite tenté de régler l'affaire à l'amiable afin d'obtenir la libération de leur enfant.
La famille aurait proposé une somme de 150 000 francs CFA à la victime pour qu'elle signe un document d'engagement. Bien qu'ayant donné son accord initial, la victime s'est ravisée après la remise d'un acompte de 50 000 francs CFA, le reste devant être payé ultérieurement. La partie civile a refusé cet arrangement, affirmant que « l'affaire étant à la justice, il faut que la justice fasse son travail. »
Deux avocats se sont portés volontaires pour défendre la victime. Le dossier a été renvoyé à une semaine pour permettre à la défense de prendre connaissance des pièces du dossier.
L'accusé, un jeune homme de 19 ans, s'est approché de lui, le suppliant de lui donner une cigarette, arguant qu'il était lui aussi fumeur.
La victime a accepté, lui demandant cependant de patienter quelques instants, le temps d'allumer sa propre cigarette. C'est cette courte attente qui aurait provoqué la fureur du jeune homme. Impatient, l'accusé a immédiatement administré un coup de poing à la victime.
Ne comprenant pas cette réaction, il aurait fait comprendre au jeune homme qu'étant aussi fumeur, il ne peut pas lui refuser la cigarette, soulignant la solidarité des fumeurs, et ensuite la victime a cru d'abord à une mauvaise blague. L'accusé a alors dégainé un couteau et a poignardé la partie civile au niveau de l'abdomen. Par chance, la victime a échappé à la mort.
Face au tribunal, l'accusé n'a pas nié les faits et a exprimé ses regrets. Questionnées par la cour, les deux parties ont affirmé qu'il n'existait aucun contentieux antérieur entre elles et qu'elles ne se connaissaient pas avant l'altercation. La victime a souligné que la famille du jeune homme a contribué à sa prise en charge pour les soins. Cette dernière aurait ensuite tenté de régler l'affaire à l'amiable afin d'obtenir la libération de leur enfant.
La famille aurait proposé une somme de 150 000 francs CFA à la victime pour qu'elle signe un document d'engagement. Bien qu'ayant donné son accord initial, la victime s'est ravisée après la remise d'un acompte de 50 000 francs CFA, le reste devant être payé ultérieurement. La partie civile a refusé cet arrangement, affirmant que « l'affaire étant à la justice, il faut que la justice fasse son travail. »
Deux avocats se sont portés volontaires pour défendre la victime. Le dossier a été renvoyé à une semaine pour permettre à la défense de prendre connaissance des pièces du dossier.