Dans sa déclaration, il a réaffirmé que le GRACTCHAD apporte son soutien total au gouvernement tchadien pour ce choix qualifié de courageux et souverain. Selon lui, cette rupture traduit la volonté de l’État de reprendre le contrôle intégral des ressources naturelles et des espaces protégés, véritables symboles de la richesse écologique et de l’identité nationale.
Le GRACTCHAD a félicité le gouvernement pour cette démarche jugée lucide, patriote et stratégique, inscrite dans la logique de préserver le patrimoine naturel dans l’intérêt supérieur du peuple tchadien.
Ahmat Haroun Larry a souligné que les parcs nationaux, tels que Zakouma et l’Ennedi, ne sont pas de simples sites touristiques ou écologiques : « Ils représentent l’âme du Tchad, la fierté des générations passées et l’héritage de celles à venir ». Protéger ces espaces, a-t-il insisté, revient à défendre la souveraineté, la dignité et la mémoire du peuple tchadien.
Le mouvement a également réaffirmé sa disponibilité à accompagner toutes les initiatives nationales visant à valoriser, gérer et protéger durablement les parcs et réserves, dans un cadre respectueux des intérêts du pays et de ses citoyens.
Dans le même esprit, le GRACTCHAD a lancé un appel à la société civile, aux institutions publiques et privées ainsi qu’aux communautés locales afin de s’unir autour de cet idéal de préservation et de responsabilité partagée.
Enfin, le groupe a mis en garde contre certains compatriotes tchadiens qui, selon lui, défendent des intérêts étrangers au détriment de la nation. « Les richesses naturelles, les parcs nationaux et les espaces protégés appartiennent au peuple tchadien et doivent être gérés par le Tchad et pour le Tchad », a rappelé Ahmat Haroun Larry.
Il a conclu en appelant à la vigilance, à la responsabilité et à l’unité patriotique : aucun intérêt individuel ne doit, selon lui, primer sur l’intérêt collectif. « Servir le Tchad, c’est défendre ses valeurs, ses richesses et sa dignité », a-t-il martelé.
Le GRACTCHAD a félicité le gouvernement pour cette démarche jugée lucide, patriote et stratégique, inscrite dans la logique de préserver le patrimoine naturel dans l’intérêt supérieur du peuple tchadien.
Ahmat Haroun Larry a souligné que les parcs nationaux, tels que Zakouma et l’Ennedi, ne sont pas de simples sites touristiques ou écologiques : « Ils représentent l’âme du Tchad, la fierté des générations passées et l’héritage de celles à venir ». Protéger ces espaces, a-t-il insisté, revient à défendre la souveraineté, la dignité et la mémoire du peuple tchadien.
Le mouvement a également réaffirmé sa disponibilité à accompagner toutes les initiatives nationales visant à valoriser, gérer et protéger durablement les parcs et réserves, dans un cadre respectueux des intérêts du pays et de ses citoyens.
Dans le même esprit, le GRACTCHAD a lancé un appel à la société civile, aux institutions publiques et privées ainsi qu’aux communautés locales afin de s’unir autour de cet idéal de préservation et de responsabilité partagée.
Enfin, le groupe a mis en garde contre certains compatriotes tchadiens qui, selon lui, défendent des intérêts étrangers au détriment de la nation. « Les richesses naturelles, les parcs nationaux et les espaces protégés appartiennent au peuple tchadien et doivent être gérés par le Tchad et pour le Tchad », a rappelé Ahmat Haroun Larry.
Il a conclu en appelant à la vigilance, à la responsabilité et à l’unité patriotique : aucun intérêt individuel ne doit, selon lui, primer sur l’intérêt collectif. « Servir le Tchad, c’est défendre ses valeurs, ses richesses et sa dignité », a-t-il martelé.