Cette tournée marque une étape importante dans l’engagement des États-Unis à soutenir les efforts libyens visant à surmonter les divisions politiques et sécuritaires afin de parvenir à l’unité nationale et à une paix durable.
Lors de ce déplacement, le général Anderson a rencontré plusieurs hauts responsables représentant aussi bien l’ouest que l’est du pays. À Tripoli, il s’est entretenu avec le Premier ministre et ministre de la Défense par intérim, Abdulhamid Dabaiba, le vice-ministre de la Défense, Abdulsalam Zubi, ainsi que le chef d’état-major le général Mohammed Haddad.
À Benghazi, il a rencontré le commandant de l’Armée nationale libyenne (LNA), le maréchal Khalifa Haftar, accompagné de son adjoint, le général Saddam Haftar. Au cours de ses échanges, le général Anderson a insisté sur l’importance du dialogue, de la coopération et de la réconciliation entre les différents acteurs libyens, soulignant que l’unité est indispensable pour assurer la stabilité et la prospérité du pays.
« Il était essentiel pour moi de rencontrer les responsables clés de l’ouest et de l’est, et d’encourager toutes les parties à engager un dialogue ouvert et à travailler ensemble pour une paix et une sécurité durables », a-t-il déclaré, ajoutant que les États-Unis souhaitent renforcer leurs partenariats afin d’aider les Libyens à bâtir eux-mêmes un avenir stable et prospère.
Le commandant d’AFRICOM a rappelé que les États-Unis soutiennent un processus politique dirigé par les Libyens, tout en mettant l’accent sur l’importance d’une plus grande intégration sécuritaire et économique pour consolider la souveraineté et le développement à long terme du pays.
Les discussions ont également porté sur les défis sécuritaires, notamment la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée, qui continuent de menacer la stabilité de la Libye et de l’ensemble de la région. Dans cette perspective, le général Anderson a annoncé une étape significative : la participation conjointe de forces de l’est et de l’ouest libyens à l’exercice militaire majeur d’AFRICOM, Flintlock 2026, qui réunira des participants venus de toute l’Afrique et d’Europe.
Pour la première fois, une partie de cet exercice se tiendra en Libye, dans le but de renforcer l’intégration des institutions militaires du pays. De son côté, le chargé d’affaires par intérim de l’ambassade des États-Unis en Libye, Jeremy Berndt, s’est félicité de cette visite : « AFRICOM est un partenaire indispensable pour notre ambassade.
Cette visite du général Anderson a renforcé nos relations avec nos partenaires libyens et contribuera à soutenir leurs efforts pour unifier les institutions militaires et sécuritaires, une étape essentielle pour la paix et la stabilité. »
Lors de ce déplacement, le général Anderson a rencontré plusieurs hauts responsables représentant aussi bien l’ouest que l’est du pays. À Tripoli, il s’est entretenu avec le Premier ministre et ministre de la Défense par intérim, Abdulhamid Dabaiba, le vice-ministre de la Défense, Abdulsalam Zubi, ainsi que le chef d’état-major le général Mohammed Haddad.
À Benghazi, il a rencontré le commandant de l’Armée nationale libyenne (LNA), le maréchal Khalifa Haftar, accompagné de son adjoint, le général Saddam Haftar. Au cours de ses échanges, le général Anderson a insisté sur l’importance du dialogue, de la coopération et de la réconciliation entre les différents acteurs libyens, soulignant que l’unité est indispensable pour assurer la stabilité et la prospérité du pays.
« Il était essentiel pour moi de rencontrer les responsables clés de l’ouest et de l’est, et d’encourager toutes les parties à engager un dialogue ouvert et à travailler ensemble pour une paix et une sécurité durables », a-t-il déclaré, ajoutant que les États-Unis souhaitent renforcer leurs partenariats afin d’aider les Libyens à bâtir eux-mêmes un avenir stable et prospère.
Le commandant d’AFRICOM a rappelé que les États-Unis soutiennent un processus politique dirigé par les Libyens, tout en mettant l’accent sur l’importance d’une plus grande intégration sécuritaire et économique pour consolider la souveraineté et le développement à long terme du pays.
Les discussions ont également porté sur les défis sécuritaires, notamment la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée, qui continuent de menacer la stabilité de la Libye et de l’ensemble de la région. Dans cette perspective, le général Anderson a annoncé une étape significative : la participation conjointe de forces de l’est et de l’ouest libyens à l’exercice militaire majeur d’AFRICOM, Flintlock 2026, qui réunira des participants venus de toute l’Afrique et d’Europe.
Pour la première fois, une partie de cet exercice se tiendra en Libye, dans le but de renforcer l’intégration des institutions militaires du pays. De son côté, le chargé d’affaires par intérim de l’ambassade des États-Unis en Libye, Jeremy Berndt, s’est félicité de cette visite : « AFRICOM est un partenaire indispensable pour notre ambassade.
Cette visite du général Anderson a renforcé nos relations avec nos partenaires libyens et contribuera à soutenir leurs efforts pour unifier les institutions militaires et sécuritaires, une étape essentielle pour la paix et la stabilité. »
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AFRICOM : première visite du commandant en Libye, un signal fort pour la réconciliation








