Après avoir examiné les implications de la loi régissant la cryptomonnaie en République Centrafricaine sur l'architecture règlementaire de la Communauté en matière monétaire et financière, le Comité ministériel a constaté que certaines dispositions de cette loi sont incompatibles avec les accords et conventions régissant l'Union Monétaire de I'Afrique Centrale et les Statuts de la Banque des Etats de l'Afrique Centrale (BEAC).
Le Comité ministériel a pris acte du rapprochement fait par le Gouvernement de la République Centrafricaine auprès de la BEAC et des institutions financières internationales, notamment le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale, tout en espérant qu'une solution préservant la compatibilité des dispositions nationales en la matière avec I'architecture institutionnelle et réglementaire de la Communauté sera issue de cette démarche.
L'UMAC invité la Banque Centrale à accélérer le processus d'élaboration d'un cadre normatif régissant les cryptoactifs dans la CEMAC et à poursuivre les actions en faveur de l'inclusion financière et de la modernisation des infrastructures de paiement.
Le Comité ministériel a pris acte du rapprochement fait par le Gouvernement de la République Centrafricaine auprès de la BEAC et des institutions financières internationales, notamment le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale, tout en espérant qu'une solution préservant la compatibilité des dispositions nationales en la matière avec I'architecture institutionnelle et réglementaire de la Communauté sera issue de cette démarche.
L'UMAC invité la Banque Centrale à accélérer le processus d'élaboration d'un cadre normatif régissant les cryptoactifs dans la CEMAC et à poursuivre les actions en faveur de l'inclusion financière et de la modernisation des infrastructures de paiement.