Le ministère des Transports et de la Sécurité routière du Tchad, à travers le Bureau national de fret terrestre (BNFT), organise un atelier de présentation des résultats de l'Observatoire régional des pratiques anormales sur les principaux corridors de l'Afrique Centrale (OPA-AC), ce 28 septembre. Il s'agit du rapport du 1er trimestre 2022.
L'objectif de l'atelier est de présenter aux principales parties prenantes, ainsi qu'à l'opinion publique, les activités du projet. L'atelier vise également à examiner les derniers résultats de l'OPA et à faire le suivi des premières recommandations à l'attention des États de la CEMAC.
Mme Fatima Goukouni Weddeye, ministre des Transports et de la Sécurité routière, affirme que l'état de santé des corridors d'Afrique centrale « nous concerne, au tout premier plan, comme une question tant institutionnelle que macro-économique ».
Des entraves en tout genre sont relevées, au rang desquelles, figurent la multiplication des contrôles de police, de gendarmerie et des douanes, les longues attentes aux passages de frontières, les pertes de temps et les paiements illicites aux postes de contrôle.
Ces entraves ont pour conséquence d'accroître les coûts des opérations de transport et la perte de compétitivité des économies des pays de la zone CEMAC, et particulièrement de la République du Tchad, explique Fatima Goukouni Weddeye.
De son côté, le directeur général de l'Institut sous-régional des statistiques et de l'économie (ISSEA), Dr Francial Giscard Baudin Libengué Dobélé-Kpoka, souligne que la question de la libre circulation des biens et des personnes, qui est à la base de cette réflexion menée sur les stratégies de lutte contre les pratiques anormales sur les corridors routiers d'Afrique centrale, est l'une des principales préoccupations des pères fondateurs de la communauté depuis ses origines.
Le représentant de l'Union européenne au Tchad, Antonio Di Clémente, annonce que les interventions en faveur de l'intégration régionale seront axées sur les investissements dans le sens de renforcer les corridors stratégiques, multimodaux intégrés, verts, intelligents et résilients face au changement climatique conformément aux priorités définies tant par l'Afrique que par l'UE.
L'objectif de l'atelier est de présenter aux principales parties prenantes, ainsi qu'à l'opinion publique, les activités du projet. L'atelier vise également à examiner les derniers résultats de l'OPA et à faire le suivi des premières recommandations à l'attention des États de la CEMAC.
Mme Fatima Goukouni Weddeye, ministre des Transports et de la Sécurité routière, affirme que l'état de santé des corridors d'Afrique centrale « nous concerne, au tout premier plan, comme une question tant institutionnelle que macro-économique ».
Des entraves en tout genre sont relevées, au rang desquelles, figurent la multiplication des contrôles de police, de gendarmerie et des douanes, les longues attentes aux passages de frontières, les pertes de temps et les paiements illicites aux postes de contrôle.
Ces entraves ont pour conséquence d'accroître les coûts des opérations de transport et la perte de compétitivité des économies des pays de la zone CEMAC, et particulièrement de la République du Tchad, explique Fatima Goukouni Weddeye.
De son côté, le directeur général de l'Institut sous-régional des statistiques et de l'économie (ISSEA), Dr Francial Giscard Baudin Libengué Dobélé-Kpoka, souligne que la question de la libre circulation des biens et des personnes, qui est à la base de cette réflexion menée sur les stratégies de lutte contre les pratiques anormales sur les corridors routiers d'Afrique centrale, est l'une des principales préoccupations des pères fondateurs de la communauté depuis ses origines.
Le représentant de l'Union européenne au Tchad, Antonio Di Clémente, annonce que les interventions en faveur de l'intégration régionale seront axées sur les investissements dans le sens de renforcer les corridors stratégiques, multimodaux intégrés, verts, intelligents et résilients face au changement climatique conformément aux priorités définies tant par l'Afrique que par l'UE.