Cette rencontre, organisée en présence de la ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, Fatimé Aldjinneh Garfa, des chefs de missions diplomatiques et de nombreux partenaires techniques et financiers, visait à mobiliser la communauté internationale autour de la reconnaissance de la dépression de Bodélé comme un service écosystémique mondial, tout en mettant en lumière le rôle écologique des poussières africaines.
Un plaidoyer pour une coalition africaine
Le ministre Hassan Bakhit Djamous a rappelé que le Tchad souhaite, à travers cette initiative, constituer une coalition africaine des pays producteurs de poussières bénéfiques, regroupant plusieurs États sahélo-sahariens. Ce plaidoyer s’inscrit dans la vision d’une gestion concertée et durable de ces phénomènes naturels au profit du climat mondial.
De son côté, la ministre déléguée Fatimé Aldjinneh Garfa a souligné les efforts du gouvernement tchadien pour faire de Bodélé un pôle d’excellence en matière de recherche scientifique, d’observation climatique et d’éducation environnementale.
Un plaidoyer pour une coalition africaine
Le ministre Hassan Bakhit Djamous a rappelé que le Tchad souhaite, à travers cette initiative, constituer une coalition africaine des pays producteurs de poussières bénéfiques, regroupant plusieurs États sahélo-sahariens. Ce plaidoyer s’inscrit dans la vision d’une gestion concertée et durable de ces phénomènes naturels au profit du climat mondial.
De son côté, la ministre déléguée Fatimé Aldjinneh Garfa a souligné les efforts du gouvernement tchadien pour faire de Bodélé un pôle d’excellence en matière de recherche scientifique, d’observation climatique et d’éducation environnementale.
La dépression de Bodélé, un trésor écologique mondial
Située dans la région désertique du Djourab, au nord du Tchad, entre le massif du Tibesti et les monts de l’Ennedi, la dépression de Bodélé s’étend jusqu’au Borkou. Ses poussières minérales, portées par les vents d’harmattan, jouent un rôle déterminant dans l’équilibre écologique mondial.
Selon plusieurs études menées par la NASA, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), la FAO, ainsi que les universités de Leeds (Royaume-Uni) et de São Paulo (Brésil), la dépression de Bodélé contribue à : la régulation du carbone, la fertilisation naturelle des sols, et la résilience des écosystèmes terrestres et marins.
Un lien vital entre le Sahara et l’Amazonie
Les particules de Bodélé, transportées par les vents, fertilisent les terres africaines, stimulent la photosynthèse marine et apportent des nutriments jusqu’à la forêt amazonienne, située à plusieurs milliers de kilomètres.
Ainsi, le désert du Tchad agit comme un véritable poumon minéral, soutenant l’un des principaux poumons verts de la planète : la forêt amazonienne.
Située dans la région désertique du Djourab, au nord du Tchad, entre le massif du Tibesti et les monts de l’Ennedi, la dépression de Bodélé s’étend jusqu’au Borkou. Ses poussières minérales, portées par les vents d’harmattan, jouent un rôle déterminant dans l’équilibre écologique mondial.
Selon plusieurs études menées par la NASA, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), la FAO, ainsi que les universités de Leeds (Royaume-Uni) et de São Paulo (Brésil), la dépression de Bodélé contribue à : la régulation du carbone, la fertilisation naturelle des sols, et la résilience des écosystèmes terrestres et marins.
Un lien vital entre le Sahara et l’Amazonie
Les particules de Bodélé, transportées par les vents, fertilisent les terres africaines, stimulent la photosynthèse marine et apportent des nutriments jusqu’à la forêt amazonienne, située à plusieurs milliers de kilomètres.
Ainsi, le désert du Tchad agit comme un véritable poumon minéral, soutenant l’un des principaux poumons verts de la planète : la forêt amazonienne.
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COP 30 : le ministère de l’Environnement mobilise ses partenaires autour de la dépression de Bodélé









