

Les élèves et les enseignants de Ndouukoula ont fait face à une réalité difficile. Dans les salles de classe, la scène est désolante : des élèves assis à même le sol, d'autres sur des cailloux ou des morceaux de bois. Le manque de bancs, de pupitres, de manuels scolaires et d'autres matériels didactiques est flagrant. Les classes sont surchargées, et le personnel éducatif, ainsi que les parents d'élèves, sont désemparés par cette situation alarmante.
Le directeur de l'école et les enseignants portent la marque d'un profond désespoir. Il n'existe qu'un seul table-banc, réservé au maître de l'école, dont la tristesse est visible. En dehors de cet unique meuble, le reste des élèves est contraint de s’asseoir par terre. Ils tentent de suivre le cours de kirundi du maître, mais les conditions rendent l'apprentissage extrêmement difficile.
Pour prendre des notes, les élèves doivent poser leurs cahiers sur leurs genoux, courber le dos pour écrire, ce qui leur cause de la douleur. « Ça fait mal », se plaignent-ils. Fatigués, certains élèves se mettent carrément à plat ventre, tandis que d'autres, visiblement épuisés, tournent le dos au tableau et se distraient en se faisant des blagues.
Cette situation n'est pas unique à Ndouukoula. Dans plusieurs localités de la région de l'Extrême-Nord, de nombreuses écoles manquent cruellement de tables et de bancs, forçant les élèves à s'asseoir au sol pour suivre leurs cours. Ce constat soulève des inquiétudes majeures quant aux conditions d'apprentissage et à l'avenir éducatif des enfants de la région.
La détresse des élèves et des enseignants de l'école primaire de Ndouukoula appelle à une action urgente. Les autorités et les ONG doivent intervenir pour améliorer les infrastructures scolaires et garantir un environnement d'apprentissage adéquat pour tous les enfants. L'éducation est un droit fondamental, et chaque enfant mérite de pouvoir apprendre dans des conditions décentes et dignes.
Le Visage de la Tristesse
Le directeur de l'école et les enseignants portent la marque d'un profond désespoir. Il n'existe qu'un seul table-banc, réservé au maître de l'école, dont la tristesse est visible. En dehors de cet unique meuble, le reste des élèves est contraint de s’asseoir par terre. Ils tentent de suivre le cours de kirundi du maître, mais les conditions rendent l'apprentissage extrêmement difficile.
Des Conditions Inhumaines
Pour prendre des notes, les élèves doivent poser leurs cahiers sur leurs genoux, courber le dos pour écrire, ce qui leur cause de la douleur. « Ça fait mal », se plaignent-ils. Fatigués, certains élèves se mettent carrément à plat ventre, tandis que d'autres, visiblement épuisés, tournent le dos au tableau et se distraient en se faisant des blagues.
Un Appel à l’Aide
Cette situation n'est pas unique à Ndouukoula. Dans plusieurs localités de la région de l'Extrême-Nord, de nombreuses écoles manquent cruellement de tables et de bancs, forçant les élèves à s'asseoir au sol pour suivre leurs cours. Ce constat soulève des inquiétudes majeures quant aux conditions d'apprentissage et à l'avenir éducatif des enfants de la région.
La détresse des élèves et des enseignants de l'école primaire de Ndouukoula appelle à une action urgente. Les autorités et les ONG doivent intervenir pour améliorer les infrastructures scolaires et garantir un environnement d'apprentissage adéquat pour tous les enfants. L'éducation est un droit fondamental, et chaque enfant mérite de pouvoir apprendre dans des conditions décentes et dignes.